MARDI : la tignasse qui descend jusqu'au cul n’est pas ce qui caractérise de prime abord notre ami Pat... d’où la question : comment fait-il pour headbanger sur du Status Quo, dont il a réécouté « Blue for you » un opus de 1975, ode au boogie-blues et remède contre la morosité.
MERCREDI : Bruno fait une petite pause dans ses chroniques, on le retrouvera très bientôt en pleine forme… plus l'attente est longue plus le plaisir sera grand ! (comme j'ai trois lignes à combler, un peu de culture avec ce vers de Corneille : « Et le désir s’accroît quand l’effet se recule »*, à réciter les yeux fermés, pour effet garanti... réponse plus bas !)
JEUDI : Claude est revenu aux classiques du classique, aux grands maîtres, comme Jean Sibélius, avec lequel il conclut le chapitre symphonique avec la « Symphonie n°6 », la septième et dernière ayant déjà été chroniquée. Le Toon, l'ordre y connait pas, y'a qu'à voir son bureau, quand on demande à Sonia d'aller chercher l'agrafeuse, elle revient trois semaines après... les mains vides.
VENDREDI : on est parti à Bucarest, avec Luc, pour notre séance cinéma et le beau « Ce nouvel an qui n'est jamais arrivé » de Bogdan Mureșanu, un film choral sur les dernières heures de la dictature Ceaușescu, filmé comme un reportage de guerre, empreint d’humour noir.
👉 La semaine prochaine, musicalement, il va y avoir des grands noms, des pontes dans leurs domaines, à commencer par Vivaldi dès lundi (ça rime), Léo Ferré ensuite et Marc Bolan plus tard. On aura sans doute un roman (d’espionnage) de Pierre Nord, (à moins que Nema l'ait perdu... le nord ! arf arf) et en salle un joli premier film de Amélie Bonnin.
Bon dimanche.
*« et le désir s’accroît quand les fesses reculent » 😮 C'est du Corneille, on a l'droit ! 😁
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