MARDI : le facétieux, distrayant et sympathique Ringo Starr était invité chez Pat pour son cinquième opus solo « Rotogravure », un album à l’image de son batteur-chanteur, qui a réuni pour l’épauler quelques amis et pointures telles George Harrison (un ex-collègue), Peter Frampton ou Eric Clapton.
MERCREDI : parmi les héritiers de Jimi Hendrix, Bruno nous a parlé d’un des plus talentueux mais aussi d’un des plus humbles, Robin Trower, dont les premiers albums sont flamboyants, à l’image de ce « Live ! » incendiaire où le trio en totale symbiose file le frisson.
JEUDI : Claude Toon a fait un
saut vers le Missouri pour nous faire écouter le « Concerto pour violon »
(1993) de John Adams. Moderne sans être intello, le concerto chroniqué est un bain de jouvence
musicale, virevoltant et sensuel. Il est interprété ses complices fidèles,
au violon par Leila Josefowicz et à la direction par
David Robertson. En bonus, le disque de Gidon Kremer, autre
maître du genre. Le plus beau concerto depuis celui "à la mémoire d'un ange" de Berg d'après certains.
VENDREDI : Luc a revu le premier long métrage d’Andreï Tarkovski, pas le plus poilant des réalisateurs, certes, mais « L’Enfance d’Ivan » est une bonne porte pour entrer dans l’univers tragique, poétique d’un des plus grands cinéastes russes, qui déjà devait se jouer de la censure soviétique. Chef d’œuvre.
👉 On se retrouve la semaine prochaine avec Jacques Higelin en grand format (pléonasme...), un portrait de John Mellencamp, et un western de Clint Eastwood. Autrement dit, que des pointures. Quant au sujet du Bruno... (soupirs), j'crois bien qu'il est allé consulter son bon docteur.
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