MARDI : la fronde gagne le pays,
les fans de country déversent des bennes entières de vinyles devant les
préfectures, la Dati grimpée sur une barricade et ses talons hauts Louboutin
réclame un Grenelle du folk ! La faute à qui ? A Pat, qui a allumé
le feu de la contestation en lâchant cette bombe : on ne parle pas
assez de folk dans ce blog ! (même s’il y a plus d’articles estampillés
folk que jazz, pop, ou heavy métal, mais la mauvaise foi et la
désinformation n’ont pas de limite). J’annonce donc, et c'est un engagement
solennel, afin de calmer l’opinion et éviter la contagion (si les amateurs de stubenmusik alsacienne s'y mettent, on est
mal...)
une chronique très orientée country dès jeudi prochain dans ce qui
s’appellera désormais le Débloc'Folk.
En attendant, réécoutons la superbe Kate Wolf mise à l’honneur en
début de semaine.
MERCREDI : et le hard rock, on en
cause suffisamment du hard rock ? Oui, mais c’est jamais assez, estime
Bruno, qui nous présenté The Mother Station, groupe hélas
éphémère puisque leur premier album
« Brand New Bag »
était aussi leur dernier, dommage, un disque plein de promesses, mais sans
lendemain.
JEUDI : Claude, lui, il est
peinard, il a trouvé sa niche, cultive son filon, il ne se prendra ni pavés
ni lacrymo, et nous a encore régalé avec le compositeur prussien
Norbert Burgmüller, qui a un point commun avec Brian Jones, pour
savoir lequel il fallait lire sa chronique sur le
« Concerto pour piano op. 1 »
joué ici par le pianiste Nikolaus Lahusen ; Norbert Burgmüller né en 1810 comme Chopin et Schumann…
VENDREDI : et le cinoche, y’en a
assez ? On en cause chaque fin de semaine, et même du cinéma qui filme
le cinéma, un sous genre très prisé en ce moment, Cédric Kahn cède à
son tour à l’exercice dans ce
« Making of » au casting royal, bien fait, bien écrit, mais qui se disperse un peu dans
des intrigues secondaires un poil galvaudées.
👉
La semaine prochaine, Gaston y’a téléphon qui son, le retour du
roi de la gaffe, du country/folk avec le retour (bis) du duo
Robert Plant Alison Krauss, et si nous avions ri des nazis il y a
peu avec Lubitsch, on en rira moins avec Jonathan Glazer et son
prix du jury à Cannes.
Bon dimanche.
Moi je ne fais qu'un seul geste... je retourne ma veste... toujours du bon côté.
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