Lundi : Toute l'équipe du Deblocnot' présentait ses vœux pour 2018 à ses fidèles lecteurs. À la rédaction du blog, on n'était pas clair ! On a reçu plein de Tweets de grandes personnalités : Le pape, Trump, le président Macron, Le spationaute Thomas Pesquet, Fillon et même Michel Sardou qui prenant sa retraite souhaite un papier sur lui. Heu, on va d'abord faire une enquête d'intérêt public…
Mardi
: Avec sa tignasse au vent, sa barbichette et son allure un peu folle, Pat avait le look le
plus approprié pour nous rappeler que le grand Brel avait tenté avec succès
d'adapter Don Quichotte dans l'homme de la Mancha. Une comédie musicale
qui fût un grand succès des années 70. Très (trop) impliqué, le grand Jacques faillit y laisser sa
peau. Un récit haut en couleur de Pat. Claude Toon voulait jouer Sancho Panca,
mais il est trop maigre (quoique…)
Mercredi
: Bruno se métamorphose, il délaisse son Rock chéri pour le ciné. En
l'occurrence le film halluciné de John Carpenter : The Thing de 1982. Métamorphose justement, un film de S/F où un Alien
tue et copie la forme de savants isolés dans une base en antarctique. Des
effets spéciaux terrifiants faits main, un huis-clos flippant. Qui est qui ? Au
blog tout le monde se suspecte, surtout depuis que Sonia à quatre oreilles…
Jeudi
: on a du mal à le croire à le voir aujourd'hui en costard/cravate / attaché case au directoire du Deblocnot mais Rockin' a eu sa période punk début des années 80, et il en garde une affection particulière pour les pionniers du genre, notamment les rouennais Les Olivensteins qui ont repris le chemin des studios en 2017 plus de 35 ans après leur "fin". Le propos est toujours acéré et leur rock nerveux n'a pas déçu notre chroniqueur.
Vendredi
: Luc nous renvoie à l'époque du front populaire et à un film emblématique de Julien
Duvivier, La belle équipe. Jean Gabin,
Charles Vanel et les autres, le cinoche social du Front populaire. Un NB qui
n'a pas pris une ride. Les guinguettes et la gouaille. Un seul mot : Culte !
Samedi
: Claude fête sa 400ème chronique. (Le pape du classique, environ
2000 pages A4 police 10.) Du coup il aborde la symphonie n°2 de Gustav Mahler "Résurrection". Sept ans de
travail, Solistes, chœurs et orchestre géant, à la manière de la 9ème
de Beethoven. Monumentale, démesurée, sarcastique et terrifiante. Quand on
aime, on ne compte pas.
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