dimanche 27 mars 2016

BEST OF EN TOGE




Lundi, on a commencé par du cinéma, mais sur disque. Philou nous a éclairé sur les compositions d’un certain Bob Dylan pour le grand écran, occasion de vérifier que nous avons dans nos colonnes le plus brillant connaisseur du Zim.

Mardi, un Rockin’ en mode acoustique, mais toujours bluesy, avec le duo JJ Appleton et Jason Ricci, et un album dépouillé à souhait. Dépouillé comme Rockin’ d’ailleurs, qui à force de jouer sa solde mensuelle au loto-foot, n’a plus un radis.

Mercredi on a rebranché les guitares, normal, c’est le jour de Bruno, avec un album de Tom Keifer, injustement méprisé à sa sortie, mais que notre chroniqueur invétéré de la six cordes remet à sa juste place.

Jeudi, Pat nous a déballés ses grelots, comme ça, boum, sur le burlingue. Sonia était horrifiée. Grelots qu’il a enfilés à ses chevilles, pour rythmer une séance de musique médiévale, grâce au groupe Stary Olsa, qui nous viennent du pays des Tsars. Ils tenaient un garage, avant, d’où ce dicton local : il faut toujours confier ses bielles aux russes, avant qu’elles ne coulent. Sonia, si vous n’avez pas compris la blague, j’vous montrerai à quoi ça ressemble, en soulevant le capot.

Cinoche vendredi, en salle cette fois, avec le retour des frères Coen à la comédie, dans Ave Cesar, porté par un George Cloney épatant. On ne peut pas en dire autant du film, qui a déçu un peu, mais les avis sont partagés, Claude qui était aussi dans la salle, a apprécié davantage. 

1783 : Mozart a 27 ans et lors  d'un passage éclair à Linz compose sa 36ème symphonie "Linz" en 3 jours pour faire plaisir à ses hôtes dans un concert au pied levé !! (120 pages) Bluffant d'imagination, de vitalité, la plus populaire et jouée de ses symphonies. Maître Harnoncourt se dépense sans compter pour nous enchanter et Claude a suivi la cadence dans une chronique menée "vivace"

en costard et ray -ban, la classe quoi
Une fois n'est pas coutume, hommage à un sportif dans ces colonnes, avec Rockin qui tient  à honorer la mémoire de Johan Cruyff dont il avait le poster dans sa chambre aux cotés de ceux d'Hendrix ou des Doors, d'ailleurs le génial  batave au numéro 14 était  considéré comme une rock star dans les 70's "Il y avait une quête d'émancipation, de liberté qui nous était commune. les Beatles et les Stones reflétaient ce désir de changement, peut être que moi aussi.." (à l'équipe mag 12.2014). Avec lui c'est encore une  part de notre jeunesse qui s'éteint, et aussi un certain romantisme d'avant l’avènement du sport business. RIP Johan.
Pour finir en musique ce titre très dispensable  qu'il a enregistré en 1969, ce fut le seul et on comprends pourquoi...

3 commentaires:

  1. Finalement on est excellent que dans un seul domaine dans sa vie !
    RIP Cruyff

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    1. oui, c'est la morale de l'histoire HRT. d'ailleurs un de ces 4 je ferai un petit sujet sur les enregistrements commis par de grands sportifs, tous plus calamiteux les uns que les autres...

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