XXXX |
XXX |
Les Balkun Brothers ne révolutionnent rien du tout, mais ces deux
frangins dépoussièrent le blues originel à grands coups de boogie rock
électrique, repérés et adoubés par Joe Bonamassa et Popa Chubby, c’est dire.
Mercredi,
on reste dans le même registre avec Bruno, mais lui, il préfère les trios
comme celui des canadiens de Monkey
Junk qui présentent leur 4ème album, en restant toujours
fidèles à leur Blues/groovy/ Funky/ Swamp/Boogie/Roots (dixit
Bruno…)
Jeudi on a appris avec surprise que notre Vincent
était un extrémiste, poseur de bombes sonores… En effet il est carrément fanatisé à Extrême,
certainement un des meilleurs groupes des hard des années 90, avec le
gratteux Nuno Bettencourt. Il revient sur leur 4ème album paru en 1995 qui déconcerta quelques peu les fans, mais qui
20 ans après tient bien la route.
Cinoche vendredi avec Luc qui a bu, pardon, vu Saint Amour de Delépine/Kervern, road movie porté par Depardieu et
Poelvoorde, sur fond de picole et rencontres insolites, drôle et
tendre même si ça part un peu dans tous les sens.
Samedi, Claude
explore en compagnie de Prokofiev sa 7ème symphonie dédiée à la
jeunesse. La dernière œuvre composée par le vieux musicien. Un paradoxe et par
les audaces fantasques d'écriture : un pied de nez à l'art
"socialiste" officiel. Réjouissant.
Le
RIP de la semaine est signé Claude qui rend cette fois hommage à Nikolaus Harnoncourt décédé à 87 ans, chef d'origine allemande qui
révolutionna l'interprétation de la musique baroque dès les années 50. Retour
aux sources, avec des instruments d'époque…
Sept chroniques ! Impossible de couper en deux pour réaliser les jolies colonnes trombinoscopes décorant ce best of… Donc Maître Harnoncourt en live avec son concentus de Vienne dans le Magnificat de Bach. Harnoncourt ou la direction d'orchestre et de chœur sportive… (Chœur Arnold Schoenberg) Flûtes en bois et trompettes sans pistons comme au bon vieux temps du cantor.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire