Lundi, on a revécu avec Luc la rencontre du couple mythique Bacall/ Bogart dans "le port de l'angoisse" d'Howard Hawks, honnête film d'aventures sur fond de guerre passé à la postérité par la grâce de ces deux monstres sacrés, enfin "monstre", c'est pas le terme... Elle en jette la Bacall, et ces yeux, pas pour rien qu'on la surnommait "the look" ("le regard"). En passant par la Lauren...
Luc qui a d'ailleurs remis le couvert vendredi avec un autre classique, made in France celui là :" les 400 coups" de François Truffaut, ou les premières aventures d'Antoine Doinel, largement autobiographiques et annonciateur de 'la nouvelle vague" comme nous l'explique notre chroniqueur.
Mardi, Rockin nous a conté le retour de Colosseum, un grand nom des années 70, des pionniers de la fusion jazz/blues/rock/progressif, les cheveux ont blanchi mais le savoir faire est toujours là, la preuve avec ce nouvel album fort agréable.
Mercredi ça a été chaud, très chaud. On a eu du mal à contenir Bruno, d'ailleurs si un de nos lecteurs pouvait nous procurer un semi remorque de bromure ce serait sympa... Faut dire qu'il regardait les clips et les posters d'Eliana Cargnelutti une italienne plutôt canon, branchée sur 100.000Volts, pas pour rien que l'album s'intitule "Electric woman", Cette native d'Udine (à quelle heure ?) a pourtant d'autres atouts et s'y entend pour astiquer le manche de sa Strato et envoyer un blues rock bien pêchu.
Pour calmer Bruno nous l'avons chargé de chroniquer Line Renaud pour la semaine prochaine...
Dans le genre grande folle, Pat a fait sensation jeudi en se pointant en boots compensés, faux-cils, mascara, paillettes, rouge à lèvres, bref, toute la panoplie glam rock, un genre éphémère qui a pourtant marqué les esprits et dont l'influence se fait encore sentir; T-Rex, Bowie, Slade, Mott The Hoople c'était pas si mal mais certains excès ont ridiculisé et tué le genre.
Samedi, était jour de fête avec la 200ème de la rubrique classique, 200 articles consacrés au classique dans un blog à la base dédié aux décibels rock'n'rollesques il fallait le faire, Claude l'a fait avec un pt'i coup de main de Pat pour l'opéra, bravo et merci à eux ! Claude a choisi d'inviter à la party Mozart et Schubert pour respectivement leur K 200 et D 200 . Ces numéros énigmatiques sont les numéros de catalogue des œuvres des deux ados compositeurs (et oui déjà 200 partitions à 17-18 ans), une idée comme une autre. La symphonies n°28 pour l'un et N°3 pour le second. C'est comme "Fast and furious 157", sauf qu'avec les deux lascars, ce n'est pas du jetable. Ça a même franchit les deux siècles... Na ! Et puis c'est le grand luxe avec Carlos Kleiber et Christopher Hogwood !!!
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