MARDI : Pat n’oublie pas la plus jolie des bonnes sœurs (dixit Bob Dylan), Joan Baez, bien qu’elle ait pris une retraite méritée, après avoir arpenté les scènes du monde entier avec sa music folk militante, et c’est justement en « Tournée européenne » qu’on la retrouve, égrenant ses classiques.
MERCREDI : Bruno a posé sur sa platine le dernier disque de Buddy Miles, chanteur remarquable, compositeur inspiré, et batteur de légende, ce gars la sait tout faire, c’est très agaçant, dans « Blues berries », il délaissait la soul jazzy pour un retour au blues-rock.
JEUDI : avec Benjamin, on a donné dans le brut de décoffrage avec l’album « Bad to the bone » qui a fait connaître George Thorogood et son rock’n’roll qui prend aux tripes, ses boogie-blues bien grassouillets, balancés sans fioriture ni ménagement par ses Destroyers. Un retour aux sources salutaire.
VENDREDI : Luc a vu le film allemand de İlker Çatak qui a fait grand bruit outre-Rhin, huis clos tendu dans un collège tolérance zéro où sévit un chapardeur qu’une prof tente de confondre. Le scénario de « La salle des profs » est brillant, par toutes ses implications, la mise en scène étouffante avec son format carré.
👉 La semaine prochaine, dès lundi, un hommage au pianiste Byron Janis par Claude, qui enchaînera jeudi avec deux symphonies d’Adolf Fredrik Lindblad, Pat reviendra sur un classique de Wings, Bruno sera évidemment là aussi avec jdgfliauigfjbsqf (j’ai pas réussi à décoder son brouillon en pattes de mouche) et cédant aux innombrables réclamations, Luc reviendra au western avec un masterpeace de John Ford.
Bon dimanche.
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