MARDI : Pat, le cinéma et la Résistance, prise 3 ! Avec ce classique de l’après-guerre signé René Clément « Le Père tranquille » interprété et écrit par le multi-cartes Noël Noël (c’était son vrai nom !), un film tendre tiré d’une histoire vraie, sur l’engagement, le courage, la clandestinité.
MERCREDI : j’étais pas né, mais Bruno oui, qui a connu cette époque où les groupes de hard rivalisaient de vitesse et de brushing peroxydés. Heureusement les australiens de Kings of the sun ont su, avec leur premier album, revenir au fondamentaux, guitares râpeuses et batterie boisée.
JEUDI : Lui aussi aurait pu ferrailler dans la surenchère véloce, il était loin d’être manchot, mais Johnny Winter, nous rappelle Benjamin, aime et respecte trop le blues, son second album éponyme le prouve, jouant entre violence et douceur, riffs acérés et swing sensible.
VENDREDI : deux Blier pour le prix d’un, Luc a revu « Buffet Froid » qu’il considère pas loin comme le chef d’œuvre de Bertrand Blier (le fils) avec son Bernard de père, une comédie caustique, noire, mordante, surréaliste, servie par des dialogues aux p’tits oignons.
👉 La semaine prochaine, on aura du Michel Jonasz, après Noël-Noël, il y aura Fang-Fang (une auteure chinoise lue par Nema), et le dernier film du tandem Nakache Toledano.
Bon dimanche
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire