Mardi :
    Pat
    Slade a le blues, ça arrive. Le bon
    vieux
    Bill Deraime
    raccroche sa guitare pour une retraite bien méritée après cinquante années
    au service du blues. Pat disserte sur son 3ème album de 1981
    "Qu’est-ce que tu vas faire ?". À noter
    que notre chroniqueur aimerait voir sortir en CD ses sept premiers albums
    qui n’existent toujours qu’en vinyle… Les réactions des lecteurs montrent un
    consensus sur le projet. En résumé, du blues rapide et festif avec un petit
    côté gospel… 
  Mercredi :
    Bruno, presque synonyme de rock, Hard,
    heavy etc. Cette semaine l'album "The Lastest" de
    Cheap-Trick
    de 2009 est à l'honneur. Sans vraiment se renouveler, Cheap-Trick réalise
    ici un album résolument Rock, aux frontières du Heavy-rock, et ce, malgré le
    fait qu'il contienne beaucoup de titres proches de la ballade ou d'un Rock
    en apparence « léger ». La raison principale étant une production crue,
    franche, analogique, (ce qui manquait un peu au précédent). Une facilité
    déconcertante à mélanger les genres et à enchaîner naturellement, sans
    pathos, les titres Pop-rock à d'autres plus furieux. C'est
    Teddy médaille de Bronze, non pardon, c'est
    Bruno qui l'a dit…
  Jeudi :
    Nema est partie, vaccinée, en vacances
    (au Blog, on se vaccine sans peur et sans reproche, on pourchasse la
    chronique-contact, dixit notre expert SVT, alias le Toon). Bref notre
    chroniqueuse littéraire avait préparé un billet sur un chouette roman de
    Sylvie Germain paru en 2016 "A la table des hommes". Pas de chouette d'ailleurs, mais une corneille qui est la copine d'un
    porcelet qui va squatter un corps humain et… bien d'étranges aventures vont
    suivre… Plaisir du style et des mots, jeux autour de la langue et de son
    apprentissage, cette histoire un peu fantastique vous séduira,
    Nema l’espère.
  Vendredi
      : Luc a peur de voir ses neurones
      cinéphiliques rouiller en ces périodes de vache maigre pour accéder aux
      salles obscures !!! D'où son intérêt pour le 48Ti, symbole du titane qui ne
      s'oxyde pas ! Calembour nul mis à part,
      Luc est ressorti dubitatif de la
      projection de
      Titane, la palme d'or cannoise de 2021. Un conte fantastique, horrifique qui
      lorgne vers les délires visuels insoutenables d'un Cronenberg que seul le
      canadien maîtrise hélas. Une caméra pas mal maîtrisée, mais
      Julia Ducournau se prend au sérieux,
      montre plus qu'elle ne suggére ; donc peu de poésie et de mystère, un
      spectacle parfois risible qui vire au grotesque sur le final grand
      guignol, une musique pataude... Chacun se fera son opinion… 



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