dimanche 11 février 2018

BEST OF DU DEBLOCD'OR 2017





Lundi : nouvel album de Lonely robot, le projet de John Mitchell (non Sonia, ce n'est pas le frangin d'Eddy) qui a conquis Vincent. Du Rock progressif de haute volée mais
 sans les défauts du genre. 

Mardi : Pat est un petit coquin mais pas un pépère pervers. Place à la BD érotique, non pas salace, mais de charme avec les albums soignés de Gillon et Manara. Finesse et réalisme du trait, érotisme pour adulte et ados en quête d'infos sur le sujet. Quand la bagatelle rejoint les arts graphiques… Depuis, les albums font la tournée des bureaux des rédacteurs mâles… Sonia en a chipé un car il y a aussi des beaux mecs, question de parité…

Mercredi : c'était sans doute l'un des meilleurs groupes de la vague hard rock des 80's  mais, oh injustice, ils n'ont pas connu un succès proportionnel à leur talent. Mais Bruno est là pour réhabiliter les new-yorkais de Riot, et notamment leur "fire down under" de 1981. 

Jeudi : Récit des délibérations au Fouquet's des rédacteurs en vue d'attribuer le Deblocd'Or 2017. (Luc est aux urgences depuis qu'il a vu la p'tite note.) Lauréat cette année : Les Chics Types. La toile a surchauffé ; on a reçu des tweets du Président Macron qui, hors sujet, voulait envoyer les cendres de nos gagnants au Panthéon… Mme La ministre de la culture, Michel Sardou qui avait la rage de s'être fait éliminé (même pas nominé de toute façon) et même de Johnny via https//www.paradis.com.

Vendredi : au cinéma cette semaine Luc a vu "Pentagone papers" de Spielberg,  film  d’enquête journalistique sur l'affaire qui débouchera sur le scandale du Watergate. Avec Spielberg derrière la caméra et au générique Tom Hanks et Mery Streep, ça ne peut pas être mauvais même si  tourné vite fait avec peu de moyens . 

Samedi : Où l'on apprend que Sonia cherche un grand appart' en coloc avec Nema. Hormis cette info people, nous avions au menu le quatuor à cordes N°10 de Beethoven (si, pour cordes, malgré son sous-titre "les harpes"). Une valeur sure pour Claude qui trouve cette œuvre plutôt guillerette et surtout moderniste par les innovations et audaces du grand Ludwig van. L'occasion aussi d'écouter le Quatuor de Cleveland, un ensemble Haut de gamme mal connu en France…

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