dimanche 9 octobre 2016

LA SEMAINE DU DEBLOCNOT : UNE VRAIE TUERIE !!!





Lundi, Vincent a jeté son dévolu sur une Vierge… de Fer, comprendre le groupe Iron Maiden. Pour notre Hard chroniqueur (attention Sonia de ne pas oublier le "chro" lors de la frappe), l'album Somewhere in Time est, et reste l'un des plus grands disques de la sphère métallique. (Logique quand on est en fer.) D'ailleurs l'auteur du billet regrette que la Vierge de fer se soit un peu rouillée par la suite… Un 6/6, quand même !

Mardi, Rockin portait une cravate en os. Heu, non pardon, il nous a parlé du groupe Bone Tee et non pas Bone tie. Un nom so british pour des gars du Lot et Garonne qui proposent leur troisième album depuis leur naissance en 2010. Un disque de rock'n'roll bluesy imprégné des fondamentaux du genre : les bayous, le vaudou, et des influences comme Chuck Berry ou Buddy Guy. Un disque qui permet de se réchauffer face aux premières froidures automnales…

Mercredi, bruit d'enfer dans le bureau de Bruno. Il tentait de jouer en même temps de l'harmonica, de la batterie avec la main gauche, de la guitare avec la droite et de la basse avec les pieds ! Non pas un effet ecstasy mais une tentative d'imiter Steve Hill dans son second album Solo Recordings. Un homme-orchestre du blues-rock qui joue de tout tout seul. (Couchez Médor.) Pour citer notre spécialiste "il en ressort quelque chose de particulier, quelque chose de profondément authentique, dégageant des vibrations boisées, une force organique, avec ses fêlures et sa consistance". Poète le Bruno avec ça…

Jeudi, Pat ne fumait pas des fines herbes séchées sur son balcon mais des Camel. Blague à part, Camel est un groupe des années 70 comme notre conteur sait les dénicher. Beaucoup d'instrumental, un rock progressif qui ne fissure pas les tympans, idéal pour passer une soirée musicale sans risque de voir débouler le GIGN à cause des voisins. Pat regrette que ce groupe soit resté un peu confidentiel. Raison de plus pour le lire et se mettre au parfum opiacé… des camel…

Vendredi, comme tous les cyclistes, Luc s'est passionné par les chaînes. Sauf que cette semaine il enchaîne des pensées profondes sur Massacre à la tronçonneuse et sa chaîne charcutière : la dégoulinante comédie trash et culte de Tob Hooper, un film plutôt hard qui constitue la pierre fondatrice d'un genre appelé slashers où des bimbos et des ados se perdent dans des trous paumées, pour se faire découper, décapiter, torturer, etc. tout en hurlant comme des possédés ! Sonia est partie en courant quand Luc a fait un saut chez Bricojardin… En réalité pour acheter des graines pour le cochon d'inde de Claude…

Samedi, nouvelle rencontre avec le jeune Schubert de 19 ans qui vient d'écrire sa quatrième symphonie qu'il a sous-titré "Tragique". Sans doute un coup de spleen pour le jeune génie qui n'est pas encore reconnu faute de piston. Claude ne trouve pas grand-chose de tragique à cette belle œuvre, certes un peu sombre, mais qui se conclue de manière festive… Et dire que le Franz ne l'entendra pas de son vivant. N'Y a pas de justice !


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