Lundi, encore un hommage. Cela devient une mauvaise habitude, mais il faut s'y faire, les rockers des années 60 et 70 tombent les uns après les autres. Cette fois c'est Paul Kantner qui s'est envolé à bord de son (Jefferson) Airplane, groupe mythique associé aux années hippies de San Francisco. En sa mémoire Sonia et Rockin sont allés dans le parc en face de nos locaux, se sont mis tous nus en se mettant des fleurs dans les cheveux avant de s'allonger dans l'herbe, ils sont actuellement toujours en garde à vue à la brigade des mœurs, pas facile d'être "flower power" en 2016...
Mardi. Lui aussi a connu les folles sixties, dans le bouillonnant swinging London, c'est Kim Simmonds, âme de Savoy Brown depuis 50 ans. Il revient pour un nouvel album fidèle au british blues qui a fait sa renommée ; un cru honnête selon Rockin, fan et fin connaisseur du groupe.
Mercredi, ça plane avec Bruno et Planetof the Abts, le nouveau projet de Matt Abts, ex batteur de Gov't Mule, qui nous entraîne dans un univers heavy prog très marqué par Pink Floyd, avec une très belle pochette en plus.
Jeudi. Pour moi Aston Villa c'était un club de foot de Birmimgham, vainqueur de la coupe des clubs champions en 1982, mais c'est aussi le nom d'un groupe de rock bien de chez nous. Vincent a beau être leur plus grand fan, il a été quelque peu déçu par leur dernier album : "Joymachine" qui n'a pas vraiment été une machine de joie pour lui…
Vendredi. Premier concert classique pour Luc à la Philarmonie de Paris. Luc qui a fait sensation avec son tee shirt Motörhead... Non, en fait, il a su se tenir et n'a pas été sorti par la sécurité. Il en a même ramené un compte rendu qui offre un œil extérieur et décalé. La prochaine fois ira t'il en costard à un concert d'AC/DC? À suivre...
Samedi. À cheval avec Claude direction le Middle West mis en musique par et compositeur américain d'origine suédoise Howard Hanson. Une fresque épique à la mémoire des colons suédois immigrant vers le Nebraska. Pas trop moderne, archi tout public, fresque symphonique marquée par le postromantisme avec une touche hollywoodienne…
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