mercredi 27 août 2014

LES LIVE DES 80'S (chapter one)

     Il y a quelques mois, nous avions passé en revue les grands live des 70's, en sélectionnant pas moins de 70 pièces ! 
Mais ce passage obligé du double live s'essouffle au crépuscule de cette décennie magique.
Dans la suivante, les enregistrements publics qui parviennent à proposer quelque chose de différent (outre la prise de son), et même de plus que les originaux studios, semblent devenir une denrée rare. La concurrence est rude et on n'ose plus prendre des risques en partant dans des improvisations (ou semi, comme très souvent en Rock) et autres envolées.
En comparaison, ceux des 70's sont des bijoux ; cela en dépit de quelques égarements.
De plus, lors de ces années 80, la captation flirte avec l'amateurisme de luxe, ou le foutage de gueule, même parfois pour des grosses structures. On note alors une régression.
Néanmoins, il y a eu quand même quelques belles réussites comme nous allons le voir avec Bruno et Rockin' qui ont fouillé dans leurs placards .

Petite précision : plusieurs disques frenchies auraient pu figurer dans cette liste, (à titre d'exemple le "Enregistré en public" des Stocks ou le "Higelin à Mogador"),  mais nous les gardons sous le coude pour un prochain spécial  "Lives made in France".
Allez c'est parti pour 30 albums, la moitié à découvrir aujourd'hui, en vrac :

Jimmy Barnes "Barnestorming" (1988)

     Ce Live alterne entre brûlots Heavy-Rock'n'Roll, gros Rock franc du collier, d'autres frôlant parfois le Rock FM (minoritaires), et quelques chaudes ballades rock 
gorgées de Soul (qui permettent de faire respirer les baffles, notamment l'énorme "When a man loves a woman")
     La musique de Jimmy Barnes est très souvent décrite par la presse comme une fusion de Rock, de Soul et de Blues. C'est un fait, mais avec ce live, elle transpire abondamment par tous les pores un rock exultant. Un live qui saisit les tripes, file le frisson, hérisse la nuque, vous galvanise. L'intensité est parfois si forte que ce Barnestorming flirte souvent avec le Heavy-Rock. Un monument.
La chronique : ICI ; + "The Rhythm and the Blue" (2009)

Bryan Adams "Live Live Live" (1989)

     Lors d'un concert pluvieux en Belgique (?! Pourquoi pas chez lui, à Ventcouvert), Bryan Adams braille les hits de ses trois précédents opus. Contre toute attente, celui à qui l'on commençait à reprocher de ne pas prendre de risques, de surfer sur son succès, de coller à une recette commerciale, sort un disque live non retouché, brut, sans overdubs. Ce qui lui donne parfois des airs bienvenus de Heavy-rock ou de Power-pop un tantinet dirty. 

Comme c'est souvent le cas, la presse classe Bryan Adams Bryan dans la section Pop, voire Rock FM. Chose qui déplaît au blondinet qui se considère avant tout comme un rocker. Ses prestations live démontrent qu'il n'a pas tort.


The Inmates "Meets the Beatles"(1988)


     Une bombe !
     Lors d'un festival commémoratif,  The Inmates reprend le répertoire des Beatles à leur sauce ; ça penche parfois plus vers les Rolling Stones de la fin des 60's. Rien d'étonnant d'ailleurs car le chanteur, Bill Hurley, avouera avoir nettement plus d'affinités avec ces derniers que les Beatles (il avait d'ailleurs fallu que les organisateurs insistent, car avait dans un premier temps refusé de participer à la fête). C'est certainement en ce sens qu'il choisira, avec le groupe, le répertoire le plus Rock des quatre de Liverpool. 
Le meilleur groupe de Pub-rock.


Motorhead "No sleep til' Hammersmith" (1981)

     Une bande de furieux barbares déboule sur scène malmener les tympans d'une foule de fanatiques qui n'en demandait pas tant.
Le power-trio (et ici le terme "power" prend tout son sens) avait lâché dans la nature successivement trois bombes de Heavy-Rock'n'Roll high-octane, des classiques du genre, des psychotropes auditifs de freaks bardés de cuir subsistant à l'aide de fortes doses de décibels, et ne faisant pas de quartiers. La trilogie préféré des dieux du feu et du fer :  "Overkill", "Bomber" et "Ace of Spades". 
     Le trio infernal parvient sans forcer à reproduire ses attaques soniques sur scène sans jamais tomber dans le brouillon ou l'approximatif. Mieux, il semble y décupler ses forces.
Souvent copié, jamais égalé.
Motörhead : Inferno (2004) et "Better Motörhead than Dead - Live at Hammersmith" (2007)

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Blackfoot "Highway songs live " (1982)

     Aïe ! Ouch ! Whaa ... Ça chauffe dur ! Blackfoot, sur scène, ce sont quatre sudistes (Jacksonville, Floride) déchaînés et affamés qui semblent jouer comme si c'était leur seul et unique concert.
Pour preuve, quelqu'un présente Blackfoot en s’époumonant, roulement de tambours, grosse rythmique, LesPaul bien épaisses, Rick Medlocke (aujourd'hui guitariste chez Lynyrd Skynyrd) annonce "Boogie Time !" ; coup de slide, et c'est parti pour une heure d'un heavy boogie rock à obédience rock-sudiste où chaque "baisse de régime" sera comme l’œil du cyclone : le calme avant la tempête. 
     D'ailleurs, Blackfoot n'a pas fait dans le détail au niveau du choix des titres : uniquement les plus "rentre-dedans", les plus entraînants (on ressortirait presque les guitares en carton), et surtout les plus réussis. La crème. Ricky paraît possédé lorsqu'il prend la peine de présenter un titre. Il éructe. Sur la reprise "Trouble in Mind", le groupe s'offre même une intro digne des meilleurs Status Quo mais chauffée à blanc. La cohésion des musiciens, tous d'un très bon niveau, est telle qu'elle impressionne dans le rendu d'une musique aussi énergique que dense.
Articles / Blackfoot : The Story (part One) et The Story (part Two)


Sammy Hagar "Live 1980" 1980

     Un véritable rouleau compresseur ! C'est du direct ! Sammy Hagar ne fait pas dans la dentelle et va à l'essentiel d'un Hard-rock puissant et bravache, chargé de grosses guitares. 
     Ce live a une énergie débordante, sentant la sueur, la chaleur des lampes d'amplis sur-chauffées, et le humbucker. Point de claviers. A l'image de la pochette, Sammy tient autant de la prestation physique que musicale. Le son est certes quelque peu crade (garanti sans overdubs, d'ailleurs une note au dos de la pochette spécifiait : « this performance is uncensored and contains adult language which may be considered offensive »), mais la priorité est à l'efficacité et l'urgence, et aucunement aux fioritures. 
Sammy Hagar n'a jamais rien fait de plus dur ou agressif que ce Live 1980 (même avec Van Halen). Et de tous les live du Red Rocker, édités entre 1977 et 1990, celui-ci est sans contestation le meilleur.
La chronique : ICI


RIOT "Riot Live" (1982)

     Il s'agit ici d'un live perdu. Un enregistrement effectué peu après "Restless Breed". Un disque sympathique mais qui faisait pâle figure en comparaison de l'incandescent "Fire Down Under". La faute étant alors directement imputée au nouveau chanteur, Rhett Forrester, arrivé en remplacement du regretté Guy Speranza, qui donne l'impression d'avoir des difficultés à trouver ses marques (la première face se traîne un peu). Ainsi, afin de redresser au plus vite la barre, le staff sort un live prouvant que le nouveau RIOT était toujours d'attaque, en pleine forme, prêt à faire de l'ombre aux meilleures formations Heavy-rock de l'époque. Un live petit par la durée (seulement trente minutes), mais grand par l'énergie déployée. Torride ? Le mot est faible. Un journaliste (H. Picart ?) écrit à l'époque qu'il fallait imaginer un Ted Nugent affamé lâché sur scène après une peine carcérale.
(en format CD, cette prestation intense n'est disponible qu'en bonus, sur la réédition "Restless Breed" par High Vaultage de 1997, et celle Metal Blade de 1999)

SAGA "In Transit"(1982)


     A l'époque, un nouveau son (de grande qualité) et une nouvelle approche musicale. Du Hard progressif de haute volée avec une personnalité propre. Un son "FM" mais non sirupeux.
     Enregistré au Danemark et en Allemagne pendant le "World's Apart Tour" de 1981, cet album est une excellente compilation "Live" des quatre premiers albums du groupe canadien. Baptisé par Michael Sadler lui même Les "Seigneurs du Funk Médiéval" - tout à fait approprié - le groupe est vraiment au top de sa forme en ce début des années 80 et Ian Crichton (guitare)Jim Crichton ( basse, claviers), Jim Gilmour (claviers, chant), Steve Negus ( batterie), Michael Sadler (claviers, chant) nous proposent sur ce disque (seulement) 9 titres entre Prog-Rock et Hard-Pop scintillante d'une puissance et d'une énergie impressionnante. Cet album retranscrit merveilleusement bien la magie des concerts de Saga à cette époque, un son exceptionnel, frais et dynamique, basé sur les duels claviers/guitares, boosté par la basse sautillante de Jim Crichton et la batterie du puissant Steve Negus.
La chronique : ICI 


Ted NUGENT "Intensities in Ten Cities"(1981)

     Le Motor City Madman édite un live constitué, uniquement, de 10 titres inédits, issus de 10 concerts de 10 villes différentes. Guy Tarzan (c'est son époque pagne en peaux de bête) délivre ici de courts sets bien Rock'n'Roll flirtant à l'occasion, sans complexe ni a priori, avec le glam ou le pur Rock'n'Roll (la très bonne cover de "Land of a 1 000 Dances"). Le Nuge en pleine possession de ses moyens, sûr de lui-même, au zénith de son succès commercial (il fait alors parti des incontournables de la scène Hard-Rock), n'a plus rien à prouver et évite l’esbroufe pour se concentrer sur l'essentiel. C'est concis, nerveux, épileptique, faisant passer nombre de groupes de Punk-rock pour des amateurs adolescents sans jus. Un pur et grand instant de Heavy-Rock'n'Roll mégalo.
(C'est également le dernier grand disque de Nugent - jusqu'à cette année ? -)
Article / Ted Nugent : Ted Nugent (1975)


George THOROGOOD "Live"(1986)

     George Thorogood a étoffé sa musique en y rajoutant un sax et un guitariste (pour ces deux premiers disques - fortement recommandés - il était sous forme de trio), mais, et fort heureusement, il ne s'éloigne pas de son Blues rugueux, cru, viscéral et authentique. Un Blues qui s'inspire ouvertement de John Lee Hooker, Bo Diddley et d'Elmore James. Ici, point de chichi.
     De "Who do you love " (Willie Dixon) à "One bourbon, One scotch, One beer" (JL Hooker) en passant par "Madison blues" ou "Bad to the bone" (remember le film "Christine" de John Carpenter) ça dépote très sévère !
(Il y a également le Live de 1982, sorti des tiroirs en 2010, jouissant d'une fort bonne réputation, de l'époque où George Thorogood et ses Destroyers  - alors sans second guitariste - écumaient les USA, avec le J.Geils Band, en ouverture pour les Rolling Stones. Avec une telle affiche, il n'y avait pas d'alternative : il fallait assurer un max)
George Thorogood : "2120 South Michigan Avenue"(2011)


the Angels "Liveline" (1987)

     Il suffirait juste de rappeler que ce double live a eu droit à trois éditions (la dernière étant un pavé regroupant tous les titres joués en concert). Peu de live ont mérité ce privilège (pour mémoire : "Live at Leeds", "Made in Japan" et "Fillmore East"). Il suffirait de rappeler également, que le public Rock australien, du moins celui des années 70 et 80, était intraitable avec les clowns et les escrocs incapables de tenir une scène correctement, pour justifier le gage de qualité d'un enregistrement en public d'un collectif aussie. 
Restés dans l'ombre d'AC/DC, ce fabuleux groupe n'aura pas eu la consécration mondiale qu'il méritait. Sur ces deux CD de Hard rock'n'roll bluesy et torride le gang de Doc Neeson (qui nous a quitté le 4 juin dernier, RIP Doc) et des frangins Brewster égrène ses hits dans une ambiance de feu, difficile de résister à "Don't waste my time ", "Small price", "Shadow boxer" ou "Run for the shelter", un must de Rock live, toutes époques confondues.
(dénichez l'édition de 2006 avec pas moins de 34 titres !)
"Rock'n'Rollll !!!! YYYhyaa !" (hum... même Sonia se laisse transporter par les ondes salvatrices irradiant de ce fameux deubeule live)

Articles / The Angels (Angel City) : "Take it to the Streets" (2012) + "Talk to Talk" (2014)


Tina TURNER "Live in Europe"(1988)

     Avec sa carrière solo, Tina Turner embrassa une Soul mainstream aromatisée aux essences Rock. Sa musique était désormais convenue, idéale pour passer à la télévision et plaire à une Amérique bien sage. La panthère noire sulfureuse n'était plus.
Une foule d'invités célèbres accompagne la lionne pour une tournée d'"adieux" (?) où même ses titres sirupeux s'en tirent avec les honneurs (notamment grâce à une orchestration moins chargée). 
     Le second CD, le meilleur, privilégie l'ère "Ike & Tina Turner" et c'est donc la crème. Avec quelques invités venus rendre hommage à la grande prêtresse, à savoir Robert Cray, Eric Clapton, David Bowie, et Bryan Adams (ce dernier, l'impudent, pour interpréter, en duo, un de ses titres - coup double : gros carton pour Tina et Bryan -). De ce double opus, cinq singles en seront extraits. Pas courant pour un live.


Rainbow "Finyl Vynil" (1986)

     A l'image de la pochette, c'est plutôt un album photos, un album souvenirs, un témoignage regroupant différentes périodes du groupe de mister Ritchie Blackmore. Ainsi on retrouve Rainbow sous trois aspects relativement différents ; trois périodes correspondantes aux trois chanteurs différents, soit Ronnie James DioJohn Lynn Turner et Graham Bonnet (bien que celle de ce dernier fut de courte durée avec un seul disque à son actif). Des extraits de concerts de 1978, 1980, 1981, 1982 et de 1984, mais aussi deux face "B" insérées qui méritent amplement leur place sur un long-player. Des interprétations étourdissantes gravées pour la postérité prouvant aussi que Rainbow était un groupe de scène. 
    Un double lp que l'on pourrait presque considérer comme une compilation (comme le souligne un déblocnoteur), mais qui mérite tout de même sa place ici.
Mention spéciale à "Difficult to Cure" avec orchestre symphonique en appui et un superbe solo de basse où Roger Glover rend hommage à Bach.
Rory GALLAGHER
"Stage Struck" (1980)
     Rory Gallagher met le feu. Il tricote sévère avec ses mimines et pousse des gueulantes de Korrigan.
     Sur ce "Stage Struck", le feeling est si dense qu'il en est palpable. Pas un seul temps mort, pas une seule faute de goût, même les "petits pains" donnent une saveur supplémentaire. Et les soli ont ici toujours un sens, toujours dans le temps ; bien plus une extension, ou une envolée qu'une échappée solitaire. De sa fidèle relique de Stratocaster, cabossée à l’extrême, portant sur elle les stigmates d'années de services assidus, Rory extirpe des sons incroyables. C'est comme s'il était équipé d'une armada de distos et de diverses overdrives, alors qu'il en est rien. Tout est dans les doigts, la maîtrise, et le talent de l'irlandais. Le matériel est essentiellement puisé dans les deux précédentes galettes, à savoir "Photo Finish" et "Top Priority". Les deux albums (avec "Jinx") ayant le plus d'atomes crochus avec le Heavy-rock, le Hard-Blues, ce qui explique cette impression de chaleur moite et toutefois vivifiante propre au meilleur groupe de Heavy de cette décennie.
Chronique CD : "Tattoo" 1973
Nine Below Zero "Live at the Marquee" (1980)



      Premier album de Nine Below Zero, ce live enregistré en 1980 au mythique Marquee de Londres est un brûlot ! Le groupe de Dennis Greaves (guitare) et Mark Feltham (harmonica, vocaux) nous délivre 14 titres dont 12 reprises de classiques du blues ou rythm'n'blues. On entend d'abord un vieux vinyle  jouer quelques notes de "Nine below zero" par son auteur Sonny Boy Williamson, puis décollage immédiat avec "Tore Down" (le classique de Sonny Thompson, écrit pour Freddy King), s'ensuivent 40 minutes pied au plancher. 
     On comprend mieux le sens de d'expression "pub rock" : après un tel moment passé à taper du pied, une bonne pinte de bière s'impose ! 
A ranger aux cotés de "Stupidity" (Dr Feelgood) et "Full House" (J Geils Band).





MSG "One Night at Budokan" (1982)


     On a failli l'oublier, celui-là. Il faut dire que les premiers albums de Michael Schenker étaient relativement décevant. Indéniablement honnêtes, même un peu plus, mais malheureusement manquant cruellement de piment. surtout en comparaison des pépites que Schenker avait réalisés avec UFO. Précisément "Phenomenon", "Lights Out" et "Obsession" (et nombreux sont ceux qui rajouteront avec passion "Force it"). On attendait tous beaucoup de l'ange blond ; probablement trop. 
Ce double sort à temps et remet les pendules à l'heure. Le Schenk retrouve sur scène toute la pertinence, la puissance et la dynamique dont il avait fait preuve au sein du groupe de Pete Way et Phil Mogg. Sans égaler le "Stranger in the Night", "One Night at Budokan" parvient toutefois à se présenter comme un digne fils. La différence se faisant principalement au niveau du chant, car si Gary Barden est un bon chanteur (alors en pleine progression) il ne peut suivre la comparaison avec un Phil Mogg alors encore en pleine possession de ses moyens.
Avec Cozy Powell (Jeff Beck Group, Murray Head, Donovan, Bedlam, Rainbow, Whitesnake, Gary Moore, Black Sabbath, Malmsteen, Peter Green), Chris Glen (Tear Gas, Sensational Alex Harvey Band, John Martyn, Ian Gillan, The Party Boys, G.M.T.) et Paul Raymond (Plastic Penny, Chicken Shack, Savoy Brown, UFO, Waystyed, Mogg-Way).








4 commentaires:

  1. Le Riot Live est en effet génial mais un peu court.
    Grâce au net, on peut trouver un live de 81 ( pas officiel) à Cleveland avec Speranza, 13 titres dont Altar of The King et Outlaw.
    Les mecs de Riot ne portaient ni cuir ni clous, juste T shirt/jeans/baskets, compos et talent en béton!

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    1. "Altar of The King" et "Outlaw" : deux belles pièces du fameux "Fire Down Under". Un des meilleurs opus du genre de 1981.
      Effectivement Juan, pas de cirque chez Riot, juste de la musique, et de la bonne (du moins jusqu'en 1982).
      On va essayer de dénicher ce live avec Speranza.

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  2. Rockin... Rockin... Les Lives des 80' !
    ayayaya ! ma mère à poil devant le Prisu !
    mais où fourres tu ton pif !
    Va falloir dégrossir " massif" sur le sujet, car il y a du bon comme du pire. Je n'aurais jamais osé sur le sujet.
    En ce moment j'ai pas trop le temps, mais je vais revenir sur ton post, non dé diou !

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    1. Totalement d'accord HRT, "il y a du bon comme du pire" ; à se demander même si, hélas, le pire n'est pas majoritaire.
      A mon sens, les bons enregistrements publics refont une belle percée dans la décennie suivante.

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