En
1978 un Français et un Québécois
eurent l’idée d’écrire un opéra-rock qui fera le tour du monde et sera traduit
en anglais, chose rare pour une œuvre francophone alors que l’inverse est plus
habituel. Beaucoup de jeunes artistes, alors peu connus, y connaitront la
célébrité.
Starmania, une histoire
controversée
Michel Berger et Luc Plamondon prirent pour trame
l’histoire de Patricia Hearst fille
d’un magnat de la presse enlevé dans les années 70 par un mouvement extrémiste
de gauche, et qui embrassera leur cause, ce que l’on appellera depuis ce jour
le syndrome de Stockholm.
Sur
fond de trois histoires vécues en parallèle dans un pays imaginaire ou le
terrorisme et le totalitarisme règnent en maitre, nous nous retrouvons à Monopolis, la nouvelle capitale de l’Occident terrorisée
par les Etoiles noires, une bande
ayant pour chef Johnny Rockfort (Daniel Balavoine) qui agit sous
l’influence de Sadia (Nanette Workman), fille de la haute société
qui se travestit le soir en noir pour descendre dans les souterrains et pour
donner ses ordres.
Euh... le seul truc qui peut s'appeler "opera rock", c'est "Tommy".
RépondreSupprimerEt pis c'est tout !
Je m'attendais a cette petite "réflexion". En France, tu as eu "La fantastique épopée du général Machin" par Ange dans les années 70 qui a été considéré en son temps comme le premier opéra rock.De plus dans le titre je parle de "Renouveau" pas de continuité de l'opéra rock comme "Tommy", mais je ne veux pas créer de polémique (Victor) !
RépondreSupprimerSi cette oeuvre demeure incontestablement un vrai succès populaire, j'avoue que l'appellation que celle d'opéra Rock employée à tour de bras par Michel Berger, m'a toujours agacé. Je dois aussi reconnaître que je ne suis jamais parvenu à m'emballer pour tel ou tel morceau. A cet effet, "Le Blues du business man" m'est toujours aussi insupportable. Bon ben c'est pas si grave finalement. D'autant si je compare Starmania à tout ce qui se fait depuis le succès de Notre Dame de Paris, celle ci fait carrément office de réussite artistique.
RépondreSupprimerVince.
c'est clair que le terme "opéra rock" est inapproprié et qu'on l'a employé à tort et à travers notamment pour Starmania, plus proche de la comédie musicale et de la variété, mais comme le dit Vince on a vu bien pire depuis.
RépondreSupprimer(à BBP: j'ai un petit faible aussi pour "SF Sorrow" des Pretty Things paru un an avant Tommy et qui a inspiré les QUI)
Terme tout à fait inapproprié en effet. Je ne vois pas ce qu'il y a de rock dans ce projet. On devrait plutôt dire "Opéra-variété".
RépondreSupprimerDe plus j'ai une quasi-aversion pour les créations de Michel Berger, ainsi que celles de Daniel Balavoine (le premier authentique bobo de France, avant l'heure ?). Et je ne parle même pas de Jean-Jacques Goldman car là, je vais manquer d'adjectifs désagréables.
Ces créations ont fait et font toujours les belles heures des pires radios commerciales de l’hexagone.
Mais bon, faut de tout pour faire un monde (et toute cette sorte de choses).
Le 2ème truc à pouvoir s'appeler "opera-rock" est "Quadrophenia". Et enfin, "The Wall".
RépondreSupprimerBerger ? Non... peux pô... Goldman... Depuis que j'ai divorcé, j'ai arrêté !
Balavoine ? Il avait un poil remonté dans mon estime quand il avait dit à quel point il était fan de Peter Gabriel. Mais bon... ça s'arrête vite...
Il est vrai que Starmania est une splendeur par rapport aux sombres bouses que l'on voit fleurir depuis pas loin de 20 ans... "Mozart l'opera rock"... De quoi faire vomir !
Au royaumes des incapables, les minables sont rois !
Et qu'est-ce qu'il viennent ici faire tous ces québécois ? Ils ont leur permis de séjour au moins ? On renvoie des gitans en Roumanie alors qu'il peut y avoir d'excellents guitaristes parmi eux et on garde Garou...
TOUT SAVOIR SUR DANIEL BALAVOINE :
RépondreSupprimerhttp://balamed.skyrock.com/
http://www.facebook.com/balavoine.daniel
http://www.youtube.com/user/BALAMED (+ de 200 vidéos sur la chaine Youtube)
http://www.dailymotion.com/BALAMED (+ de 200 vidéos sur la chaine Dailymotion)