dimanche 18 février 2024

LE BEST-OF FAIT UN MAHLER

LUNDI : Claude a rendu hommage au chef Seiji Ozawa, une carrière impressionnante doublée d’un charisme certain, une disparition qui a chagriné le Toon, qui nous a proposé un survol de l’œuvre d’Ozawa ainsi qu’une sélection de ses plus belles contributions à la musique. Parti rejoindre ses pairs, on peut désormais proclamer : Ozawa au plus haut des cieux !   

MARDI : certains titres de Genesis dépassent facile les 20 minutes (c’est G. Mahler qui doit s’marrer…) raison pour laquelle ce « Live » est sorti amputé sur un simple vinyle, mais il est le seul témoignage live de l’époque Peter Gabriel, un enregistrement qualifié en conséquence par Pat d’historique.  

MERCREDI : autre disparition, dans le monde du rock cette fois, Bruno a rendu hommage au guitariste Wayne Kramer, figure du MC5, avec le troisième et dernier album du combo de Detroit « High Time », un disque à la fois plus élaboré et brut, une décharge d’énergie pure mâtinée de psychédélisme punk (ça n’veut pas dire grand-chose mais ça sonne bien).   

 
JEUDI : à l’heure où vous lisez ces lignes, certains n’ont pas encore fini de lire l’article de Claude sur « La symphonie n°3 » de Gustav Mahler (la sécurité routière conseille une pause toutes les deux heures, c'est pareil ici) une des plus longues du répertoire, d’où cette bafouille qui comptabilise plus de mots qu’il y a de rivets sur la Tour Eiffel. Un score qui ne manquera pas d’être salué dans le prochain Guinness des records. En voulant faire défiler l'article à coups de molette de souris pour atteindre les vidéos du bas, je me suis chopé une tendinite à l’index (une semaine d'ITT). 

VENDREDI : double portrait de femmes dans ce « May December » de Todd Haynes, une actrice et son modèle, relation ambiguë et manipulation au programme, mise en scène élégante, comédiennes au sommet, mais qui a laissé à Luc un p’tit goût d’inachevé, impression que le réel sujet n’avait été qu’effleuré.

👉 La semaine prochaine, l’album qui a fait connaître la chanteuse Noa, un coup de projo sur le batteur Kenny Clarke, au cinéma une perle de la série B signée Richard Fleischer, et Bruno qui a encore mal réglé son réveil, mais qui sera là à temps !

Bon dimanche.



  

 

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