dimanche 20 mai 2018

BEST OF PRINCIER




Lundi : Pat intervient deux fois cette semaine. Il n'est jamais trop tard pour bien faire et il a concocté un RIP suite à la disparition de Jacques Higelin. Plus d'un mois déjà, forcément on ne parle que de la SNCF, alors on oublie vite… Bref, retour sur la carrière longue et fournie de l'artiste qui ne comptait pas ses heures face au public. Chanteur, acteurs, Pat fait court mais dense, à l'image du talent de l'homme-orchestre…  

Mardi : séquence historique et nostalgique avec Pat Slade et l'album mythique "Survival" de Bob Marley de 1979, l'homme aux rastas. Son avant dernier album. Bien entendu, l'ami Pat a vu l'artiste au Bourget en 1980 donc connait son sujet. (Déjà qu'il était à la création de la 9ème de Beethoven en 1824.) Pat revient sur chaque titre pour la plupart très engagés à propos de la décolonisation dans la douleur de l'Afrique.

Mercredi : le jour de Bruno et des guitares électriques (notre rédacteur connait les 78 519 modèles existants depuis leur invention). Un article toujours très complet sur le dernier album de Lance Lopez, profession : Blues Rockeur. Son Blues-rock chaleureux a généralement toujours le petit truc qui lui permet de s'extirper d'un climat par trop conventionnel. Précise Bruno. Une énergie sans concession… 

Jeudi : Rockin' s'occupe de sa généalogie. Il est né en 1965, l'année de publication de l'album de The Who "My Generation". Notre spécialiste note qu'avec ce disque, le groupe s'éloignait de la pop à la sauce Beatles pour un style plus corsé. Fureur pourtant gentillette qui va faire grincer les dents de la frileuse Albion. Les musiciens participent malgré eux à lancer le mouvement "Mod" comme modernism ! 

Vendredi : Luc fait un saut en Espagne puis à Cannes. Sujet du jour : Everybody Knows, le film de Asghar Farhadi qui a fait l'ouverture du festival de Cannes, avec le viril Javier Bardem et la toujours Sexy Penelope Cruz. Mi thriller, mi drame familiale, Luc a plutôt apprécié le film, même si Farhadi est sans doute plus à l’aise dans l’exploration des névroses familiales que dans l’aspect purement polar. 

Samedi : Claude a pris froid en restant en haut d'une montagne (bretonne) en plein vent à écouter les bruits de la nature et scruter la présence divine. Une mise en situation pour commenter Ce qu'on entendsur la montagne, le premier poème symphonique officiel de Franz Liszt inspiré d'un poème de Victor Hugo. Musique poétique, parfois un peu trop généreuse côté cymbales. Pourquoi "bretonne" ? Lisez le poème de Totor…

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