dimanche 25 mars 2018

BEST OF DE PRINTEMPS




Lundi : Vincent ne recule devant aucun sacrifice. Peu fana du Groupe Motley Crüe, il a quand même visualisé le DVD - The End Live in Los Angeles de 2016. Un mélange Hard Rock robuste, de spectacle pyrotechnique et de minettes qui se trémoussent en petite tenue. Plus du tape-à-l'œil que de la bonne musique. Une curiosité pour s'amuser…

Mardi : une rumeur circulait concernant une thèse d'habilitation à la recherche sur le sexe des Anges rédigée par Pat. Après vérification : juste un article sur un album assez original de Jean-Michel Brezovar, guitariste du groupe Ange, un péché mignon de Pat. L'artiste prend ses distances par rapport au style historique de Ange ; irritant parfois quelques puristes, mais Pat, lui est aux anges…

Mercredi : c'est le jour du blues rock avec Bruno qui a écouté le petit dernier d'un guitariste californien, Alastair Greene, fan des Stevie Ray, Albert et BB  King, Rory Gallagher, Johnny Winter ou Eric Clapton et ex accompagnateur d'Alan Parson. Ce 5eme album oscille entre blues rock pêchu, funk,  british blues, boogie à la ZZ Top, rien de révolutionnaire mais du tout bon. 

Jeudi : Rockin revenait des Ardennes (titre du film de Robin Pront) avec des bleus et quelques points de suture ! Il avait tenté à ses risques et périls de percer les secrets d'un film très noir, à mi-chemin entre le polar et le film social dont nos amis belges se font une spécialité hélas peu médiatisée. Et Rockin de préciser : violent, crasseux, sulfureux et désespéré… Des influences de Scorcese et Tarantino, donc à voir, à l'évidence, sauf en cas de déprime.

Vendredi : avec Luc et "Ni juge ni soumise" un film/documentaire qui n'est autre que la continuation au cinéma du programme  de télévision culte belge "Stip tease". Cette fois on suit une juge d'instruction bruxelloise aux prises avec toutes sortes d'affaires, parfois cocasses et absurdes mais plus souvent tragiques et violentes, l'humour et le ton caustique de la magistrate  font tout le sel de ce film à la fois drôle et dérangeant. 

Samedi : Retour de Claude de Finlande (il y va souvent) pour présenter la 7ème symphonie de Jean Sibelius. Œuvre testamentaire (le compositeur gardera le silence pendant les 30 ans suivant), Sibelius nous entraîne dans une œuvre monolithique et plus avant-gardiste que certaines mauvaises langues laissent à penser. Bien sûr : l'univers des forêts, des lacs brumeux, des aurores boréales, des esprits et Dieux des légendes du Kalevala est au programme. 20 minutes seulement, mais un chef-d'œuvre…

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