dimanche 21 mai 2017

BEST OF OÙ SONT NOMMÉS : ministre de la culture sympa...



Lundi : un pavé que s'est tapé Vincent: 700 pages de ce bouquin des éditions Camion blanc  consacré à Scorpions, pour fans hardcore voulant tout savoir sur leur groupe teuton favori, une mine d'infos, dommage que  dixit Vincent il ait été "écrit avec les pieds" et que les photos soient en noir et blancs…

Mercredi : double anniversaire pour Rockin, le sien et sa 500ème chronique (bon ok, ce n'est pas un anniversaire plutôt une commémoration), l'occasion d'une interview pas comme les autres et aussi celle de recevoir des félicitations  des grands de ce monde de Donald Trump à Emmanuel Macron ou Bob Dylan… La gloire non posthume, c'est tellement beau…
Pour une raison évidente de date, Bruno et Rockin ont échangé leur jour de publication.
Mardi : deuxième album des lyonnais de Back Roads qui a encore plus enthousiasmé Bruno que le premier. Il faut dire que leur heavy rock bluesy seventies a tout pour plaire à notre maniaque des riffs bourrus. On a expliqué à Claude  le terme riffs bourrus, depuis, il est ébouriffé !

Jeudi : un petit tour dans "la boite de jazz", titre phare de cet album de 1985 de Michel Jonasz "Unis vers l'uni", un grand cru  et un grand succès que nous fait revivre Pat. Question de Sonia : Y-a-t-il un chanteur français dans tous les genres dont Pat n'a pas entendu parler et n'a pas assisté au moins une fois à un concert ?

Vendredi : la séance ciné de Luc avec un classique du film d'anticipation : "Soleil vert"  de Richard Fleisher (1972), un film post apocalyptique qui en a traumatisé plus d'un dans les années 70, et avec  un sacré trio d'acteurs: Joseph Cotten, Edward G Robisnon et Charlton Heston. Moralité : ne jamais manger de biscuits verts, ils ne sont pas bio contrairement à ce que l'on peut penser…

Samedi : encore un nouveau venu dans le blog, catégorie compositeur "classique". Leoš Janáček, un tchèque un poil plus jeune que Dvorak mais plus moderniste. Au programme : l'une de ses œuvres les plus célèbres : La Sinfonietta pour grand orchestre avec plein de trompettes… Une musique vivante, jeune, lancée au pas de charge par le chef australien Charles Mackerras.

2 commentaires:

  1. Je n'ai jamais vu et n'irais jamais voir Michel Sardou, Christophe Maé, Patrick Sébastien, Patrick Bruel et je n'ai jamais entendus parler de ce Jaunie à l'Idée dont tout le monde parle !

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  2. et moi, j'attendais d'être contacté par Macron pour un poste de secrétaire d'état au blues mais rien...

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