Lundi, c'est Philou qui a l'honneur de la première chronique de l'année avec le coffret des Eagles que lui a amené le père Noël. Un coffret qui vaut surtout pour le CD pas encore paru d'un live de 1999, excellent témoignage live des aigles sur scène.
Mardi, il ne s'est pas trop foulé le Rockin, sans doute encore sous les vapeurs de lambig après le réveillon, il nous a fait écouter quelques titres et reprises avec du lourd, de Santana aux Guns en passant par les Beatles ou Chuck Berry.
Mercredi, Bruno nous a fait une petite rétro de ses disques coup de coeur de 2016, avec tout plein de jolies guitaristes à short court mais pas que, puisqu'on y trouve aussi Joe Bonamassa ou Santana.
Jeudi, ça swingue avec Pat qui nous fait voyager dans le temps jusqu'à la libération avec les GI venus avec dans leur paquetage des disques du Duke, du Count , de Glenn Miller ou des Andrew Sisters. Pat y était (il ne fait pas son age) et nous raconte comment il emballait sur du Benny Goodman...
Vendredi, séance ciné avec Luc et le déjanté "Une nuit en enfer" de Robert Rodriguez, le pote de Tarantino qui participe ici à l'écriture et au montage en plus d'y jouer. Un programme alléchant avec "des filles, du sang, des flingues, du rock, de la bière, des zombies et des vampires", alléchant comme la chaude Salma Hayek...
Samedi,
Claude ouvre l'année avec une chronique "découverte" ! Dingue, un
compositeur encore jamais cité dans le blog, le classique semble inépuisable…
Claude a des réserves jusqu'à ses 105 ans, comme le papi cycliste (soit 2200
chroniques à venir). Blague à part, il nous parle de CarlNielsen, le compositeur danois le plus marquant et de sa
symphonie N°4 considérée par les spécialistes, dont le Toon, comme un chef-d'œuvre
du XXème siècle. Une musique colorée et tempétueuse très connue en
dehors de l'hexagone ! Mais que fait le gouvernement ???
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Et comme le changement de millésime n'arrête pas les ravages de la grande faucheuse, le chef d'orchestre français Georges Prêtre nous a quittés quasiment encore en activité à 92 ans. Claude reviendra à l'occasion sur la carrière du maestro favori de La Callas (Carmen de légende), un artiste très exigeant voire ronchon qui ne trouva jamais une source de satisfaction avec les orchestres français un peu trop "indisciplinés" à son goût… L'essentiel de sa carrière eut lieu à Vienne, la capitale de la perfection. Il fut d'ailleurs invité par la philharmonie à diriger le concert du Nouvel An en 2008 et 2010. (On ne candidate pas, c'est l'orchestre qui convie.)
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