Dimanche dernier, Claude a tenu à rendre hommage à Patachou, une grande dame de la chanson française qui nous a quittés à 96 ans, contribuant à lancer Brel ou Brassens, RIP Henriette.
Lundi, Luc s'est plongé dans la lecture de La malédiction d'Edgar de Marc Dugain, bio romancée de J.Edgar Hoover supposée écrite par son adjoint et... amant. Hoover, patron historique du FBI. Ce sont 50 ans d'histoire des États-Unis qui défilent, avec l'assassinat de JFK en point d'orgue ; pas si fiction que ça tout ça...
Direction L.A. mardi avec Rockin qui nous a déniché un quatuor explosif, the Bloodhounds, qui pratique un rock garage salvateur, mâtiné de blues folk ou touches latino.
Mercredi, vous l'attendiez tous, le Bruno dont la libido et l'addiction aux chanteuses de blues rock commence à faire le buzz. Après une désintox à n'écouter que de la zic de velus (deux disques des moustachus de Foghat le matin, et deux Village People le soir) il semblait aller mieux. Malheureusement il a rechuté... la faute à une bête inversion de pilulier : il a confondu ses gélules de bromure avec celles de viagra de Claude... Du coup il nous a chroniqué une jolie petite anglaise (si si ça existe !) Joanne Shaw Taylor, du blues rock qui dépote mais laisse une petite place à la soul. Quant à Bruno hélas il risque de nous quitter, il vient d'être contacté par Marc Dorcel ! Espérons qu'il trouvera le temps d'écrire entre 2 tournages...
Le retour de Vincent jeudi avec le nouveau projet de John Mitchell, Lonely robot, dont le prog aérien rappelle parfois Asia, Marillion ou Porcupine Tree. En plus il a invité plein de jolies chanteuses... NOON BRUNOO ! DU CALME !
Ciné, vendredi, avec Luc qui a ressorti The offense : un film maudit s'il en est, bien planqué au fond des tiroirs de la United Artists depuis 30 ans. Pourtant c'est de Sidney Lumet quand même, et avec Sean Connery qui trouvait là un de ses plus grands rôles. Bon, le film est un peu glauque quand même... Y'a pas à dire c'est un cas, Lumet (de la paix).
Samedi, on a évité le pire pour Claude. Heureusement qu'il y avait eu la fameuse inversion de pilules (voir ci dessus)... Faut dire qu'il nous a déniché une violoniste américaine d'origine coréenne, Sarah Chang, plutôt pas vilaine non plus. Pour ne rien gâcher c'est une prodige de l'archet. Y'a vraiment des gens qui ont tout pour eux...
Elle interprète ici des œuvres d'Henri Vieuxtemps, le 5ème concerto) et Edouard Lalo (La Symphonie Espagnole) accompagnée d'orchestres haut de gamme dirigés par Charles Dutoit. Superbe évidement.
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