- Tiens M'sieur Claude… les Brandebourgeois… Vous n'en aviez pas encore
        parlé ?
  
  - Non ma p'tite Sonia, chaque chose en son temps… Bach a déjà été
        souvent présent dans le blog…
  
  - Cette jolie serveuse me rappelle une de vos chroniques, elle porte du
        café ou du chocolat ?
  
  - Ah Ah, vous vous souvenez de cet article du 1er avril 2012
        où j'avais gentiment plaisanté à propos des cantates du chocolat (pure
        invention) et du café, qui elle, existe…
  
  - Exact, et vous vous étiez fait passé pour le chef d'orchestre… Mais
        ce café Zimmermann existe-t-il vraiment ?
  
  - Oui, à Leipzig à l'époque de Bach et c'est là que l'on jouait comme
        divertissement la musique instrumentale du Cantor, dont ces
        concertos.
  
  - Et le groupe baroque qui les interprète a pris logiquement le nom de
        ce café qui rappelle un peu le café Procope cher à Voltaire…
  
  - Tout à fait Sonia, belle érudition !!!!
  
  La marseillaise
      Céline Frisch, après ses études de clavecin, intègre la prestigieuse
      Schola Cantorum de Bâle
      où elle sympathise avec le jeune violoniste
      Pablo Valetti. Le jeune artiste va acquérir rapidement une notoriété par ses
      participations aux meilleurs orchestres baroques :
      Les Arts Florissants, le
      Concert des Nations, le
      Concerto Köln
      (ce dernier était un choix possible pour parler des
      brandebourgeois).
  
  Créer un orchestre français baroque face à la pléthore d'ensembles de
      renom était un pari osé pour les deux complices.
      Café Zimmermann
      voit le jour en 1998 et s'est
      imposé depuis comme l'un des meilleurs serviteurs de la musique de l'âge
      classique et du siècle des lumières.
  
  Aidé dans son travail par les précurseurs de l'authenticité baroque comme
      le claveciniste et chef d'orchestre
      Gustav Leonhardt
      ou le contre ténor
      Dominique Visse,
      Café Zimmermann
      parcourt le répertoire du XVIIIème siècle dans des salles de
      taille adaptée : Gaveau, la
      cité de la musique, etc. Leur
      discographie est déjà très riche et surtout fait autorité, remportant
      l'adhésion des critiques et du public.
    
  
  Café Zimmermann
        a adopté une approche discographique tout à fait nouvelle et
        passionnante pour graver la quasi intégrale des
      concertos pour clavier,
      violon
      et divers instruments, ainsi que les six
      concertos Brandebourgeois
      et les quatre
      suites orchestrales. Au lieu de réunir chaque style de manière didactique, chacun des six
      albums réalisés propose un concert varié tel que l'on devait en entendre
      les œuvres à Leipzig dans le
      célèbre café. Par la suite, les 6 albums (dont 5 diapasons d'or) ont été
      réunis dans un coffret à prix doux. C'est dans cette édition que nous
      allons voyager dans le monde fantaisiste des
      concertos brandebourgeois.
  
  - Mais pourquoi brandebourgeois et fantaisistes M'sieur Claude
        ???
  
  - J'y viens Sonia, j'y viens…
  
  ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
  
  À l'origine, les six œuvres s'appelaient "Six concertos pour plusieurs instruments". Lors du travail biographique du musicologue
      Philipp Spitta au XIXème
      siècle, ce dernier les rebaptisa en
      concertos brandebourgeois puisque leur dédicataire était le margrave
      Christian Ludwig de Brandebourg.
  
  Ce qui surprend d'emblée à l'écoute en continu des 6 concertos, c'est
      l'extrême variété de forme. La plupart du temps les recueils de concertos
      grosso de l'époque baroque épousent une orchestration et une structure
      immuables. Ainsi les
      concertos opus 6
      d'Haendel
      pour cordes écoutés isolément sont très beaux, mais en continu, arrivé au
      12ème… c'est un peu répétitif et lassant. Quelques exceptions :
      comme les
      quatre
      saisons
      de
      Vivaldi.
      Bach
      explose le carcan à tous les niveaux dans les
      concertos brandebourgeois : l'orchestration, le nombre de mouvements, les durées (de 10 à 20
      minutes), etc. Ainsi l'écoute en continu (1h20) permet un voyage musical
      d'une infinie fantaisie pour répondre à la question de Sonia.
  
  La partition est datée de 1721. (Bach
      a alors 36 ans.) Elle est le fruit d'une commande de
      1719. En plus d'être le
      compositeur de génie que l'on connaît,
      Bach
      est virtuose dans nombre d'instruments : clavecin, orgue, violon et viole
      de gambe, un ancêtre du violoncelle. Par ailleurs alors que les styles
      français, italiens, concerto grosso sans soliste ou inversement s'opposent
      en Europe,
      Bach
      adopte et mélange avec gourmandise toutes ces formes. Encore une ouverture
      d'esprit qui joue en faveur de l'extrême fantaisie de ce corpus. Certes,
      cette conception impose de disposer de nombreux virtuoses pour chaque
      pupitre. Mais dans ce domaine,
      Café Zimmermann
      nous gâte !! Ah, dernier petit détail, de nombreux passages ou mouvements
      se retrouvent dans d'autres ouvrages de Bach, notamment les cantates
      (principe dit de la parodie).
  
  Concerto n° 1 (fa Majeur) BWV 1046
      : c'est le plus long des six avec ses quatre mouvements (20' en tout) et
      il possède une orchestration très riches, de nombreuses cordes auxquelles
      se joignent hautbois, bassons et cors.
  
  Dès les premières mesures, la musique virevolte dans la plus volubile
      gaité. Les bois papotent comme les habitués du café Zimmermann. Les cors
      naturels imposent leur sonorité aigrelette et joyeuse. Il sera difficile
      d'écouter des cors d'harmonie après avoir entendu ces instruments. Le
      tempo choisi par
      Pablo Valetti n'accuse aucune lenteur romantique mais évite les frénésies excessives
      parfois entendues avec certains ensembles baroques. La prise de son très
      limpide permet d'entendre tous les solistes dans leur écrin de cordes.
      Café Zimmermann
      exclut toute conception métaphysique hors de propos dans cette page de
      divertissement. Nous ne sommes ni dans
      l'art de la fugue
      ou dans une
      œuvre religieuse. Prodigieux de vitalité ! Avec ses solos de hautbois et de violon d'une
      belle transparence l'adagio contraste par sa douceur nocturne avec la
      vigueur de la sinfonia initiale. L'allegro retrouve l'énergie de la
      sinfonia. On se prend à vouloir esquisser des pas de danses, sauf que là,
      contrairement à maintes suites de
      Bach, il n'y a aucune forme de danse dans la notation (pas de sarabande ou
      autres).
      Café Zimmermann
      achève son interprétation par la suite française avec une verve pétillante
      qui fait justement oublier le rythme un peu noble qu'impose le style
      français de l'époque. Une entrée en matière parmi les plus vivantes que
      j'ai entendues depuis ma découverte de ces concertos à la fin des années
      60. Comme les Dupondt, je dirais même plus : une redécouverte.
    
 
     
Concerto n° 2 (fa Majeur) BWV 1047 : le plus bref et le plus frénétique de l'ensemble avec sa trompette solo diabolique présente dans les deux mouvements extrêmes. Bach met en avant quatre solistes : flûte à bec alto, trompette, hautbois, violon. De sa voix agreste, la trompette sans piston de Café zimmermann joue au chef d'orchestre. Hannes Rux, trompettiste solo nous bluffe en faisant preuve d'une justesse absolue avec son instrument si difficile à maîtriser dans cette tessiture. La remarque s'applique à tous les instrumentistes. L'andante bien rythmé confie un à un la parole à chaque soliste hormis la trompette. Quelle fraîcheur pastorale dans cette conversation entre solistes discrètement accompagnés du simple continuo. La fugue finale notée allegro retrouve l'ardeur de l'introduction et surtout nous rappelle que Bach était le maître incontesté de l'art du contrepoint.
     Concerto n° 2 (fa Majeur) BWV 1047 : le plus bref et le plus frénétique de l'ensemble avec sa trompette solo diabolique présente dans les deux mouvements extrêmes. Bach met en avant quatre solistes : flûte à bec alto, trompette, hautbois, violon. De sa voix agreste, la trompette sans piston de Café zimmermann joue au chef d'orchestre. Hannes Rux, trompettiste solo nous bluffe en faisant preuve d'une justesse absolue avec son instrument si difficile à maîtriser dans cette tessiture. La remarque s'applique à tous les instrumentistes. L'andante bien rythmé confie un à un la parole à chaque soliste hormis la trompette. Quelle fraîcheur pastorale dans cette conversation entre solistes discrètement accompagnés du simple continuo. La fugue finale notée allegro retrouve l'ardeur de l'introduction et surtout nous rappelle que Bach était le maître incontesté de l'art du contrepoint.
  Concerto n° 3 (sol Majeur) BWV 1048
      : Comportant en apparence trois mouvements, ce concerto insert entre deux
      allegros un adagio de quelques secondes qui n'est qu'une transition.
      L'œuvre, aussi courte que le second concerto, ne retient dans son
      orchestration que des cordes et le continuo avec clavecin. (Violons, altos
      et violoncelles par 3).  La
      mélodie serpente de cordes en cordes. Le climat est plus proche du
      concerto grosso que les deux concertos précédents de par l'absence
      d'instruments à vents solistes. C'est vivant, avec une certaine noblesse
      dans le phrasé. Les cordes de
      Café zimmermann
      se font élégantes, sans dureté ni ornementations spectaculaires. L'Allegro
      final accélère le jeu pour établir un contraste jubilatoire avec le
      premier et éviter tout aspect monolithique à l'ouvrage.
  
  Concerto n° 4 (sol Majeur) BWV 1049
      : Ce concerto se fait à la fois grosso et classique dans le sens où le
      violon devient le soliste principal face aux deux flûtes altos. Bien
      entendu, cordes et continuo accompagnent les trois solistes.
      L'introduction donne la part belle aux flûtes puis aux accents virtuoses
      du violon.
       Café Zimmermann
      (je risque de me répéter) distille avec précision et transparence toutes
      les facéties de cet allegro initial. On discerne dans le déchaînement du
      jeu du violon de suaves glissandi, technique peu commune à l'époque. Le
      concerto comprend deux autres mouvements : un élégiaque et méditatif
      andante puis un presto. Le jeu complexe du violon rappelle l'école
      italienne, notamment celle de
      Vivaldi, autre grand maître de l'archet…
  
  Concerto n° 5 (ré Majeur) BWV 1050
      : L'omniprésence du clavier (clavecin) tant dans le continuo que dans le
      développement général conduit à une singularité musicologique. Ce concerto
      est en fait le premier concerto pour clavier de l'histoire de la musique !
      Pour la petite histoire, lors de l'enregistrement des brandebourgeois par
      Pablo Casals à Marlborough début des années 60, c'est rien de moins que
      Rudolf Serkin
      qui jouait, au piano, la partie soliste. Trois mouvements : Allegro,
      Affetuoso et Allegro. Le jeu de nos baroqueux est à la fois joyeux, une
      fois de plus, et mystérieux.
      Céline Frisch
      égrène les notes avec poésie. Grâce à la souplesse et à l'articulation de
      son phrasé dans les mélodies, le vieux cliché de "la divine machine à
      coudre" Bach n'est plus qu'un souvenir d'un passé lointain et académique
      (une facétieuse expression de
      Colette semble-t-il). À noter
      que deux flûtes solistes égayent l'œuvre notamment dans le passionné
      Affetuoso. L'espièglerie de l'allegro final confirme le désir d'insuffler
      la plus grande joie de vivre par
      Café zimmermann
      dans ces concertos.
  
  Concerto n° 6 (si bémol Majeur) BWV 1051
      : L'ultime concerto adopte une forme étrange et ancienne. On pense plutôt
      à une sonate du XVIIème siècle pour 2 petites violes, 2 violes
      de gambe, deux violoncelles et la basse continue. L'imagination et la
      profusion de couleurs cèdent un peu le pas dans cette partition, mais les
      mélodies virevoltent avec allégresse. La vigueur des tempos et de
      l'articulation de
      Café Zimmermann
      achèvent dans la jubilation un cycle qui se place désormais comme une
      référence moderne des
      concertos brandebourgeois… On notera au passage que toutes les tonalités sont en mode majeur,
      choix en faveur d'exécutions dans des fêtes princières. Il est fort
      possible que
      Bach
      ait joué ce concerto en compagnie du dédicataire, le margrave de
      Brandebourg, violiste à ses heures.
  
  ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
  
  Ces concertos ont connu une réelle renaissance au milieu du XXème
      siècle. La discographie est riche d'interprétations des plus variées. Dès
      1949,
      Fritz Reiner
      grave les
      brandebourgeois
      et les
      suites pour orchestre
      avec un souci métaphysique mais sans la lourdeur romantique en vogue à
      cette époque dans l'interprétation des œuvres du cantor. Il est amusant de
      comparer la conception  du
      5ème concerto
      par
      Fritz Reiner en 1949 et, 60 ans plus tard, par
      Café Zimmermann.
  
  Pour ceux qui souhaiterait écouter les
      brandebourgeois dans la continuité et non à raison de un par CD comme dans ce coffret,
      quelques suggestions :
  
  Les enregistrements de
      Reinhard Goebel
      de 1986 à la tête du fabuleux
      Musica Antica Köln
      proposent une interprétation toute aussi vif-argent que
      Café Zimmermann
      mais sans doute trop farouche. Les 2 CD sont toujours disponibles avec des
      suites
      en complément et on les trouve également dans un coffret anthologique,
      encore plus fourni que celui présenté aujourd'hui, mais pas toujours
      abouti pour les concertos pour clavier et violon. (Archiv
      – 5/6)
  
  Très pittoresques et réédités, les disques
      de 1964 de
      Pablo Casals
      avec un groupe de potes dont
      Rudolf Serkin
      au piano et
      Alexander Schneider. C'est brut de décoffrage, pas toujours très léger, mais un témoignage
      amusant pour les admirateurs de ces artistes (Sony
      – 3/6)
    
  
  Enfin, dans le registre baroque et instruments d'époque tendance dure, le
      double album d'Il Giardino Armonico
      fera le bonheur des amateurs de musique décoiffante… C'est somptueux mais
      sans la légèreté de
      Café Zimmermann. (Teldec - 5/6)
  
  ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
  
  Successivement, pour conclure : Les Concertos n°
      1,
      2 et
      3 puis 4, 5 et 6 par
      Café zimmermann.          









Cher Monsieur Claude ( et non madame ..!!),
RépondreSupprimerj'ai lu avec attention votre article concernant les brandbourgeois exécutés par le Café Zimmermann.
Il se trouve que dans le dernier double CD Indispensables Diapason, il figure dans dans ce 1er que vous trouvez, comme moi, pétillant de verve.
Connaissant ces plus qu'inévitables bandbourgeois depuis plus de 60 ans, avec les références d'époque: Ristenpart orch. de la Sarre, Münchinger orch de Stuttgart,
possédant près d'une dizaine d'interprétations en CD de valeurs inégales, de la lente à s'assoupir à la rapide comme l'ouverture de Guillaume Tell
Morceaux Morceaux Compositeur Interprètes Label No
Concerti Brandbourgeois 1 à 6 Bach J-S. (2 SACD) Académie of ancient music Harmonia Mundi HMU 807461/2
Concerti Brandbourgeois 1 à 6 Bach J-S. (2 CD) Freiburger Barokorch. Harmonia Mundi HMC 902176/7
Concerti Brandbourgeois 1 à 6 Bach J-S. (2 CD) Camerata du 18è MDG Gold 311 0746-2
Concerti Brandbourgeois 1 à 6 Bach J-S. (2 CD) Orch. Divers Diapason 65
Concerti brandbourgeois 1 à 6 Bach J-S. (2 SACD) Concert des nations - Savall Aliavox AVSA 9871A+B
Concerti Brandbourgeois 1 à 6 Bach J-S. (2 CD) Orch. Chamb. Vienne Artemis Classics ATM 1244
Concerti Brandbourgeois 1 à 6 Bach J-S. (2 CD) Akademie für alte Musik HMundi Gold HMG 501634/5
Concerti Brandbourgeois 1 à 6 Bach J-S. (2 CD) Orchestre de chambre de Mayence Musique d'Or MDO 1012- 13
Concerti Brandbourgeois 1, 2, 3, 6 Bach J-S. Orchestre de chambre de Cologne Naxos 8.554607
Concerti Brandbourgeois 4 & 5, p. flûte, 2 flûtes à bec Bach J-S. Orchestre de chambre de Cologne Naxos 8.554608
je suis étonné de ne pas y voir figurer les Freiburger, ni Savall et vais me mettre en quête des Goebel et Zimmermann (complet)
Savez-vous si Abado avec Carmignola les enregistrés ?
Autre paramètre à prendre en considération est la prise de son, n'importe quel pékin ne peut être un Bartolomée (Passavant), Andreas Spreer, (Tacet)...
Il y a aussi des labels meilleurs que d'autres
enfin à mettre au musée des horreur au rythme des ours dans la taïga !!
Morceaux Morceaux Compositeur Interprètes Label No
Concerti brandbourgeois 1 à 6 Bach J-S. (2 CD 24 bits) Orchestre russe - dir A. Titov HDC 1413
cordialement vôtre et bonnes fêtes de fin d'année
bouddha
www.bouddha.ch/Hifi/hifi.htm
mail@bouddha.ch
Cher maître Bouddha
SupprimerMerci pour votre lecture assidue de cet article.
J'ai découvert ces concertos il y a presque cinquante ans avec un enregistrement (totalement disparu) de Marcel Couraud, et le second concerto par I musici sur un 45 tours !!!
La petite discographie de je propose en fin d'article n'a pas vocation de référence mais de suggérer des approches diversifiées dans les interprétations, ce sont aussi des coups de cœur…
Votre liste est impressionnante et tout à fait pertinente mais si je ne connais pas tous ces gens là. Quant on sait que même Herbert von Karajan s'est penché sur la question (et c'est loin d'être pataud ou ridicule ; en prime les suites 2 & 3)
Oui ! Abbado et Carmignola ont enregistré de concert (c'est le cas de le dire) les brandebourgeois. C'est un DVD (Un peu cher je trouve)
http://www.amazon.fr/Concertos-Brandebourgeois-booklet-Jean-S%C3%A9bastien-Bach/dp/B001F1YBPI/ref=sr_1_2?ie=UTF8&qid=1419414047&sr=8-2&keywords=Carmignola+bach
Oui les interprétations de Goebel sont survoltés et lumineuses (mais dans un coffret de 8 CD, à 30 € ceci dit..). À savoir que l'univers de ces gravures est dans la ligne "ouverture de Guillaume Tell…
Merci encore. J'ai visité le blog www.bouddha.ch/Hifi/hifi.htm et également les "coups de gueules". Nous partageons les même "irritations"… Beau matériel par ailleurs.
Très cordialement et bonne fête de Noël.
À bientôt
Claude dit Le Toon
Cher Monsieur Claude,
Supprimerd'abord toute bonne nouvelle année 2015 pleine de nouvelles richesses musicales
Le Couraud n'est pas disparu puisque je l'ai dans mes vinyles, on a les mêmes départs !!
Je dois vous avouer que je ne suis pas très DVD, sauf pour quelques opéras dont la Flûte de Mozart en tête et Mme Butterfly avec Mirella Freni bien sûr !!
Quand je parlais de Guillaume Tell, je parlais que du 1er mvt du 1er concerto, sinon il se laisse écouter
Ma préférence va aux Freiburger barok et Akademie für alte musik.
Il me serait agréable d'avoir votre E-mail (le mien est mail@bouddha.ch) pour que je vous envoie mes voeux photographiques car je suis aussi reporter-photographe depuis plus de 47 ans en sus d'être mélomane, ce qui n'est nullement incompatible et qu'on soigne à coups-de-gueule !!
cordialement et à bientôt par E-mail !!
bouddha