mercredi 7 mai 2014

Ted NUGENT "Ted Nugent" (1975), by Bruno

    
 

   D'une certain façon, Ted « Gonzo » Nugent a mal vieilli, notamment par ses prises de positions politiques et ses propos radicaux ; monter sur scène avec un fusil d'assaut pour vomir un fiel acerbe et obscène envers Hillary Clincton est totalement déplacé et condamnable, voire ignominieux. Ses propos acerbes et immatures envers la France pour avoir refusé de suivre le gouvernement Bush dans sa guerre contre l'Irak, et ses prises de positions extrêmes pour les armes à feu en ont fait un personnage peu sympathique.
De quoi repousser définitivement toute envie d'écouter sa musique 100 % « made in USA ».
Ces propos modérés relatifs à sa passion pour la chasse sont devenus des jets de bile vomis à la face des objecteurs, de ceux qui luttent pour les droits des animaux (d'un autre côté, il a reçu des menaces de mort, le concernant lui et sa famille, ce qui est d'autant plus regrettable).

Ted époque Amboys Dukes

   Malgré tout, on ne peut ignorer que par le passé il faisait partie des grands du Rock Fort Nord-américain. Et à ce moment-là, en dépit de son égo et de ses bravades, il pouvait se montrer sympathique. D'autant plus qu'il ne manquait pas une occasion pour vilipender l'utilisation des drogues et l'abus d'alcool, que lui-même n'en avait aucunement besoin pour faire le dingue sur les planches (ou ailleurs) ou pour composer, que les soit-disant bienfaits de ces substances n'étaient qu'une duperie, que cela avilissait l'homme (1).

     En dépit de ce que l'on a pu croire à un moment, Ted Nugent est un vrai forçat de la musique, un passionné qui a voué sa vie au Rock'n'Roll sans se ménager, sans penser aux conséquences d'une carrière sans réel succès. Comme il l'a dit lui-même, avec le tact qu'on lui connait, après être tombé fou amoureux à dix ans de la musique de Lonnie Mack, Chuck Berry et autres Ventures, il plongea dès 1960, corps et âme, dans le Rock'n'Roll. Et plus tard, pendant dix ans, comme il l'a dit lui-même, le Rock'n'Roll l'a bien... entubé. Le succès fut long à venir, mais c'était son choix, il ne pouvait et ne voulait pas revenir en arrière.

     Il commença en 1960 ou 1961 avec un petit groupe, « The Royal Gigh Boys », et dès 1963, c'est déjà plus sérieux (du moins dans son esprit) avec « The Lourds », contraction de Lords et Loud. A noter que le terme « Loud » reviendra souvent dans sa carrière, en faisant même le principal attribut de sa musique. Le jeune collectif se faisait alors les dents sur les titres les plus durs des Beatles et des Rolling Stones. C'est également, le début du « The Long Way to the top  (if you wanna Rock'n'Roll) ». Une longue période de galère, malgré quelques petits succès, avant de récolter la gloire.

     En 1965, ses parents l'envoient poursuivre ses études à Chicago. C'est là qu'il forme, en 1966, les Amboys Dukes (du nom d'un gang de Brooklyn, New-York, des années 20) et qu'il commence à jouer le plus souvent possible, au détriment de ses études. Et ainsi, il retourne rapidement dans sa ville natale, Detroit, accompagné de ses jeunes loups d'acolytes.
     Le rôle des Amboy Dukes dans le monde de la musique Rock, et notamment dans son durcissement, est occulté. Pourtant, ils étaient là, à prendre d'assaut le moindre club, à monter le son des amplis, à accélérer le rythme, avant les Stooges et le MC5. Pour certains d'ailleurs, The Amboy Dukes fait partie des groupes précurseurs du Hard-Rock.
Si leur musique était bien souvent naïve, ou empreinte de psychédélisme, grevée par un chant Beat (jusqu'en 68), elle n'en comportait pas moins les bases d'un Rock rageur, brutal, puissant et vindicatif. Des bases qui allaient en s'accentuant au fur et à mesure, avec un Ted qui allait rapidement prendre les rênes au point de faire seul l'objet de la pochette du disque (« Survival of the Fittest Live » et « Tooth Fang & Claw »). La forte personnalité de Nugent a vite fait de prendre le dessus, d'accaparer les regards (par un jeu de scène qui s'extravertit progressivement) et, à partir de 1970 et de l'album « Marriage on the Rocks / Rock Bottom », il devient le principal compositeur, ne laissant que des miettes aux autres musiciens dès le suivant. Ainsi, à partir de cette année-là, Ted semble seul maître à bord, Amboy Dukes n'étant désormais plus qu'un groupe désincarné, changeant de line-up à chaque disque. Plutôt un backing-band qu'un groupe à part entière ; l'appellation Ted Nugent's Amboy Dukes apparaissant à partir de « Survival of the Fittest Live », en 1971, met les choses au clair.


   Les Amboy Dukes étaient persévérants, cumulant jusqu'à 200 gigs en une année, recevant un accueil enthousiaste du public. Ce qui suffisait à les combler de bonheur, jusqu'au moment où la lassitude et le découragement finirent par s'insinuer dans leur esprit, très certainement par défaut de rentrées pécuniaires. Même l'infaillible Ted, resté seul sur le pont, finit par en avoir marre d'ouvrir pour de jeunes groupes à la carrure frêle, ayant du mal à tenir une scène et un public, et ayant pour principal mérite un management efficace. Marre également de ne pas vendre suffisamment de disques pour assurer la pérennité de sa carrière. C'est une certaine incompréhension en regard de moults concerts attirant foule et ovationnés, et Ted est pris de doutes.
     En 1974, il prend des vacances, et se met au vert pendant quelques mois (ce qu'il fera de nombreuses fois tout au long de sa carrière pour se ressourcer).

     C'est plus ou moins dans le courant de cette période de changement que Nugent devint ce fanfaron qui clamait haut et fort qu'il était le meilleur guitariste du monde, capable de donner des cours à Jimmy Page (et même qu'il était toujours bon, voire parmi les meilleurs, dans tout ce qu'il entreprenait, de la course à la chasse). Une propagande qui lui valu un temps le surnom de Cassius Clay du Heavy-Rock, et qui – c'était le but - porta ses fruits en attirant de nombreux curieux qui voulaient vérifier par eux-même ces allégations (farfelues). S'il est évident que Nugent n'a jamais été le meilleur guitariste du monde, loin de là, certains furent bluffés par un son assourdissant, des acrobaties, et son engagement total. Si Nugent était généralement torse nu sur scène, à l'instar de Mark Farner (guitariste chanteur de Grand Funk Railroad) avant lui, c'est parce qu'il arpentait la scène dans tous les sens, recherchant l'attention du public (au contraire de ses prestations statiques des 60's). D'autres, s'ils n'étaient point dupes, admettaient tout de même que le gaillard avait du répondant, du caractère , du vocabulaire (guitaristiquement parlant) et savait tenir une scène en faisant le spectacle. Bref, on ne s'ennuyait pas.
   Les Amboy Dukes en portaient les prémices, Nugent les exacerbat (certainement poussé dans le dos par son voisin de Flint, Grand Funk Railroad) amenant progressivement le groupe à épouser la cause d'un Hard-Rock viril, bravache et indéfectible.
   Après dix années de galère et d'incertitudes, Ted Nugent prenait enfin son envol. En 1975, il signe avec CBS, alors une des plus importantes compagnies américaines, et contacte un duo de managers redoutables : Steve Leber & David Krebs (2).

de G à D : Derek St.Holmes, Nugent, Cliff Davies et Rob Grange

     Son nouveau management ne veut rien laisser au hasard. Il faut repartir pratiquement de zéro et frapper un grand coup. Amboys Dukes a fait son temps, il n'a jamais put vraiment décoller en dix ans de carrières. D'ailleurs, depuis 1971, ce n'est plus que la formation à la géométrie variable du coriace Ted Nugent.
On recrute donc pour former un nouveau combo pour le soutenir durablement, et pérenniser une identité.
Le bassiste Rob De Lagrange (aka Rob Grange) est repêché des Amboys Dukes sabordés ; le batteur anglais Cliff Davies, issu du groupe de Rock-progressif « If » (3) vivant alors ses derniers instants, est engagé, ainsi que Derek St.Holmes fraîchement débarqué de Scott, un obscur combo qui avait plusieurs fois ouvert pour les Dukes, pour assurer la guitare rythmique, avec quelques très rares soli et partager le chant. Si la majorité des chansons sont interprétées par Derek, ce ne sera plus guère le cas pour les disques suivants où quelques conflits d'ego apparaitront.

   « Strangehold » qui ouvre les hostilités, est encore empreint de quelques réminiscences psychédéliques héritées des Amboys Dukes ; d'ailleurs certaines parties de guitare sont issues de ce patrimoine. La pièce pèse plus de huit minutes, ce qui est plutôt culotté pour ouvrir un disque de Hard-Rock. Rob (co-auteur du titre non crédité sur disque, mais confirmé par le boss), de sa basse, trace des volutes comme auréolées d'un timide effet de « chorus » sur lesquelles Ted s'appuie d'abord pour poser sa rythmique un rien menaçante et reptilienne, sorte de Stoner-light, puis pour partir dans de longues semi-improvisations (qui auraient été enregistrées en une seule prise). Ce long solo sera référencé par le magazine Guitar World parmi les meilleurs. « Strangehold » séduit l'Amérique et on en retrouve ainsi des extraits dans divers films, télé-films, et jeux vidéos.
Holmes et Nugent

   " Stormtroopin' », comme le précédent, et dans la même gamme (on durci le ton et on accélère la cadence), est un classique, repris longtemps en concert (il ouvre encore le live « Sweden Rocks » de 2008). Sur une structure assez classique, typé 100 % classic-rock, le collectif a procuré un souffle presque épique à ce titre qui pose déjà les fondations de ce heavy-rock particulier : un lyrisme viril, l'art du riff imparable, des refrains qui tentent d'être fédérateurs, notamment avec des mots choisis qui claquent, une cadence soutenue par une batterie héritée des frappes brutales de Carmine Appice (qui passera en 1982, le temps d'un disque et d'une tournée), de soli frénétiques, nerveux, et les dernières mesures qui donnent un coup de rein, le tout avec une ombre ténu qui confirme l'origine américaine, quelque chose d'insouciant et optimiste, de naïf et fier, quelque chose coincé entre les comics et Hollywood, qui évoque autant les grands espaces que les rudes cités telles que Detroit ou Chicago.

     On remarque aussi un son de guitare singulier, différent des canons de l'époque. Plutôt éloigné du son plombé de Leslie West ou de Tomi Iommi, ni de la Strato taciturne de Blackmore ou des mélopées métallo-cabalistiques de Page ; à la limite, ce serait avec le Alvin Lee pré-Woodstock que l'on pourrait déceler quelques points communs, Donald Roeser par son approche nerveuse dans des envolées pétaradantes, ou encore avec la guitare fuzzy de Mark Farner (qui lui aussi jouait sur une pelle atypique, une Messenger, dont un modèle en demi-caisse), et même du duo de bretteurs électrique du M.C.5, Wayne Kramer et Fred "Sonic" Smith (tandem qui, probablement, inspira également les fameuses poses de Guitar-Hero de Ted). C'est que le matériel qu'il a choisi ne semble pas approprié pour célébrer les grandes messes païennes du Hard-Rock. En effet, sa guitare est une Gibson Byrdland (4), une imposante demi-caisse initialement conçue pour répondre aux exigences de musiciens de Jazz, voire de Country, et qui, comme la majorité des demi-caisses d'alors, favorise le larsen dès que l'on atteint un volume auquel elle n'était pas destinée. Et plutôt que de brancher cette dame distinguée dans le traditionnel Marshall (roi régnant alors sans partage sur les terres du Rock de plomb), il choisit pour le studio un Fender Deluxe du début des années 60 qu'il pousse dans ses derniers retranchements (pour la scène c'est six Fender Twin Reverb en double-corps - auparavant un Fender Super Twin -).
 

   Ce premier jet de sa carrière solo, dans lequel lui et son nouveau management plaçaient tous leurs espoirs est une réussite. En dépit d'une production parfois légèrement brouillonne donnant de temps à autre un aspect un tantinet « garage » (peut-être un choix) avec certaines fréquences aiguës qui ont tendance à saturer dès qu'elles franchissent un seuil, l'album cartonne et devient disque d'or dans les mois suivant sa sortie (plus tard, il sera double disque de platine). C'est qu'il n'y a rien à jeter, aucun titre de remplissage sur cette galette (ce qui ne sera pas souvent le cas). Avec quatre grands classiques incontournables des concerts du bonhomme, et deux autres qui n'en sont pas loin.

   Un 33 tours qui offre des titres Heavy-Rock'n'Roll de fort bonne facture et pourvu de soli trépidants d'où irradie l'engagement physique tels que « Hey Baby » (seul titre de Derek St. Holmes, où l'on sent l'influence des pionniers du genre Gene Vincent, Chuck Berry -le solo !- et Eddie Cochran, et seul single) et « Where Have You Been All my Life » saupoudré d'un délicieux nappage « Beatles ».

     Et des pièces inclassables, sinon dans la case « Ted Nugent ». Des compositions décomplexées, libérées de toute inhibition, un brouet où l'on aurait mélangé à l'aveugle l'héritage de Chuck Berry, les Beatles, Cream, Jimi Hendrix, les Yardbirds, Fleetwood Mac, les Stones, MC5, Blue Cheer, Little Richard, Cactus, le Chicago Blues, Brownsville Station, Grand Funk Railroad, Led Zeppelin, et Dieu sait quoi encore.
Comme ce fameux « Just What the Doctor Ordered » qui démontre la science du riff du Nuge et de son humour. C'est une confession de foi où il clame son amour envers le Rock'n'Roll, son besoin viscéral de jouer, de monter sur les planches : « ... found a love in Rock'n'Roll. Now I'm on the verge of nervous breakdown, I'm gonna give my body and soul... I jammed everyday, I jammed every night, I practice till I knew all the licks... It's so crazy, but I like it, it crushes my head, my brain is on a border, but this is What the Doctor Ordered ! ». On remarque au passage un bon solo qui n'hésite pas à partir dans les graves pour y jouer des bends maîtrisés ; sans omettre les patterns phénoménaux de Davies, un batteur mésestimé simplement parce que sa carrière s'est limité à un groupe obscur (« If ») et à celle partagée avec un Nugent monopolisant l'attention au détriment de ses « partenaires ».

  Ou encore ce « Snakeskin Cowboys » à l'ambiance Western de la quatrième dimension introduit par un riff basique plus proche de la B.O. que du Hard-Rock, avec son piano bastringue en arrière plan, la basse charnue de Grange (ici une basse huit cordes ; avant Tom Petersson ?), ses claquements de mains en cadence, ses guitares en mode « Thin-Lizzy / Garage  » et son duo de chanteurs qui s'imagine être à Tombstone.

   Sans oublier le boogie-rock frénétique « Motor City Madhouse » écrit en hommage à la ville de Détroit. C'est une locomotive lancée à toute « ber zingue », propulsée par la batterie possédée de Davies. Un pattern frénétique qui a certainement inspiré un petit anglais teigneux à la coiffure en pétard, affublé du surnom de « Animal ». C'est le titre de bravoure de Ted, celui où il se lâche, criant comme un dément (écoutez la version du « Double Live - Gonzo ! »), éructant comme un sauvage, et chorusant tel un épileptique sous amphés. Un titre généralement joué en fin de concert afin d'achever les derniers rescapés de sa furia sonique. No quarter. Plus tard, une fois son répertoire étoffé, il reprendra parfois ce titre en premier, histoire de clouer sur place l'auditoire.

   « Queen of the Forest » clôt de fort belle manière cette galette dans le pur style du Nuge, et prouve qu'il n'est pas juste un barbare épais et sans jugeote ; du moins d'un point de vue musical... Si ses paroles ne volent guère haut – et encore sur ce premier jet, ça passe encore, car cela va empirer au-delà de la caricature les années suivantes - , sa musique par contre n'hésite pas à piocher dans divers commerces, du Blues au Rock'n'Roll en passant par le Jazz, pour nourrir son inspiration, forger ses riffs (dont l'appétit ne peut se satisfaire de simples power-chords) et ses chorus, en y injecter son incroyable énergie.

Échauffement avant le gig (sur un ampli Music Man)

   « You Make Me Feel Right At Home » reste par contre une curiosité dans la discographie du frappa-dingue. Une composition à l'ambiance feutrée, fortement jazzy, chantée par Cliff Davies ; incongru parmi ce lot de brûlots, mais non sans charme, et qui permet au passage de démontrer que la culture musicale du chevelu ne se limite pas à l'efficacité et à l'agression sonique. C'est même regrettable qu'il n'ait jamais réitéré l'expérience ; toutefois, on peut comprendre que ce genre de titre passe mal en concert, devant une foule déchaînée, avide de décibels, ravie de se faire submerger par une vague sonique de Heavy-Rock'n'Roll.

     Un disque qui se place alors dans la catégorie Heavy-rock ou Hard-Rock plus par l'énergie et la fougue déployées que par le son et la structure ; si ce n'est que Cliff Davies, qui semble avoir totalement oublié les errements Rock-progressif jazzy de son groupe précédent, frappe ses fûts en véritable tailleur de pierre de temples voués aux dieux païens du Rock-dur et du Métal lourd (on pense à Carmine Appice et à Denny Carmassi). Finalement, ce premier opus prouve que l'on n'a pas nécessairement besoin d'un « High-Gain », d'une disto, des « potards à onze » pour sonner Heavy. C'est avant tout une question d'engagement, une façon d'aborder et de faire sonner son instrument. Comme Uncle Ted le clamait à l'époque : « pas de jouets entre la guitare et l'ampli. Tout est aux doigts ».

"If anyone wanted to know what rock 'n roll was all about, that's the only album they'd need"
« Si quelqu'un désire savoir ce qu'est le Rock'n'Roll, cet album est tout ce dont il a besoin » dixit Ted Nugent. Il demeure d'ailleurs un de ses préférés. Ainsi que celui des nombreuses compilations, qui en font le disque le plus sélectionné.



(1) à cet effet, on a pu lire sur son visage le dégoût que lui inspirait l'addiction de John Sebastian lors de l'émission de télé-réalité : Supergroup. Ce qui l'empêcha pas néanmoins de faire preuve de patience et de tenter de raisonner, à maintes reprises, un Sebastian perdu dans les vapeurs d'alcool.
(2) un célèbre tandem de management qui prit son envol en s'occupant d'Aerosmith. Il s'occupa également de Frank Marino & Mahogany Rush et bien plus tard de Metallica.
(3) Cliff Davies reste fidèle à Nugent jusqu'en 1980. Il fait donc ainsi partie de sa meilleure période. Ensuite il fait quelques productions, dont le « What's Funk ? » de Grand Funk. Il avait déjà participé à la production de cet album éponyme mais n'avait pas été crédité (il est par contre pour les suivants). En 1990, il s'installe en Atlanta où il enseigne la batterie et le piano. Parallèlement, il est ingénieur du son pour les studios Equametric d'Atlanta. Le 13 avril 2008, il est retrouvé chez lui, tué par balle.
(4) Son diapason est plus court que celui de ses consœurs à demi-caisse avec 23,5 pouces contre 24,75, et son manche est moins épais et large que les standards Gibson (probablement moins fin que celui de la SG standard 68). Elle a été conçue selon les suggestions de deux guitaristes de Jazz, Billy Byrd et Hank Garland.






Et le docteur ? Qu'est-ce qu'il en dit ?

1 commentaire: