samedi 1 octobre 2011

L'interview de BIG BAD PETE

Ce pictogramme vous informera de l'imminent passage de BIG BAD PETE sur nos pages, vous laissant juste le temps d'éloigner les âmes sensibles...

BIG BAD QUI ? Vous ne connaissez pas ? Alors faisons connaissance, puisque notre invité (qui reviendra quand il le souhaite) s'est livré à une séance d'intronisation sans douleur sous forme d'interview. On donne dans l'introspection, les gars, ne vous y trompez pas...

- DEBLOCNOT : Salut Big Bad Pete
- BIG BAD PETE : Salut les Pignoufs !… Quoique souvent associé à « rustre, malpoli et malodorant », ce terme, dans mon vocabulaire désuet autant que suranné, réserve des trésors de tendresse. Si, si.
- Ah ouais, la bise, tout de suite ? ben chez nous c’est quatre… SMACK... avec Foxy... SMACK... et Elodie...SMACK... c’est trente deux… SMACK. Bon, maintenant qu’on se connaît mieux, comment faut-il t’appeler dans l’intimité ? Big Pete ? Pete Bad ? Big Bad ? Bad Pete Big ?...
- Restons simples, appelez-moi « Mètre », c’est plus court que « 1m82 »
- J’ai lu dans ton dossier de presse, assez volumineux, 140 pages jusqu’en CM1… que tu avais eu les oreillons étant petit. Ça va mieux ?.... Non, je dis CA VA MIEUX ?
- Mais pas du tout, c’est l’abus de rock fort et la participation à des groupes dotés de batteurs brutaux qui m’a causé un déficit esgourdien.
- Qu’est ce qui t’a donné envie de nous éblouir de ton talent sur le Déblocnot’ ?
- Y avait de la lumière, alors…
- Je crois que c’est chez toi que notre secrétaire Sonia avait choisi de s’exiler. Aucun rapport entre ça et ta visite chez nous ?
- Loin de moi l’idée de vous dérober une recrue de telle valeur. Disons que,… enfin… euh… gargl, gasp, goulp, gnouf… Aaaaargh !!! … Garçon, un tonneau de bromure !!!
- Histoire de se rassurer… Un petit portrait chinois : alors si tu étais un guitariste de blues irlandais prénommé Rory, tu serais qui ?
- Gary Moore.
- Si tu étais un metteur en scène américain, mort, qui a fait « 2001 », tu serais qui ?
- Roland Emmerich, et je me suiciderai illico.
- Bon, j’crois que ca va comme ça… De quoi comptes-tu nous parler lors de tes visites ? Plutôt branché zic, cinoche, bouquin, les trois ?
- Je suis président du fan-club de Charly Oleg, trésorier de l’association « Max Pecas’s not dead », et j’ai la collection complète des notices Ikea.
- Et tu vas commencer par quoi ?
- Comment monter et démonter les armoires Knöpffblgnukk dans le noir en moins de 23s 9 dixièmes
- Question repas, pour la cantine, pas d’allergie particulière ?
- Le café, les rognons, la langue de bœuf, les tripes, le foie, les gencives de porc, les yeux de lombric farcis, la panade aux morilles chocolatée.
- Bosser avec des filles, un vieux, un hardeux, et un breton ne te gêne pas ?
- Solidarité avec nos amis bretons qui luttent contre l’impérialisme centralisateur et colonisateur parisien. Le vieux ? ben… la décrépitude m’a frappé avant l’âge, donc, on devrait se comprendre, l’Ancêtre et ma Pomme. Le hardeux ? Sache, ô jeune godelureau, que j’ai écrit une thèse de paléontologie métalleuse :

Document authentique dont il existe un exemplaire à la bibliothèque de Kuala Luppour


Et pour les filles… Jean Ferrat, dans son infinie moustacherie disait qu’elles sont l’avenir des poilus… Pour une fois que je l’écoute : ainsi soit-il !
- Tu vois autre chose à préciser pour nos amis lecteurs ?
- BBP loves you ! Hare Krishna et à vos souhaits !

Bon, passons aux choses sérieuses, avec l'article consacré à la guerre des Conan...

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