dimanche 19 janvier 2020

BEST OF NON VIOLENT - PEACE AND LOVE




Lundi
: c'est relâcheSonia se farcit une corvée essentielle pour la vie du Deblocnot : trier, ouvrir et répondre au courrier des lecteurs : menaces de mort, descendants de Beethoven admiratifs et beaucoup de poulets (billets doux, un mot en usage au XVIème siècle) des groupies de Rockin' définitivement inconsolables et en chasse d'un mari…

Mardi : Pat nous explique que début des années 80, le rock-progressif français se meurt ! Enfin pas vraiment grâce au groupe Marillion qui sort un album culte en 1983 "Script for a jester’s tear". Ce sera le premier chef-d’œuvre de Marillion qui malgré quelques défauts, reste un des meilleurs disques de rock progressif des années 80, quelques mois plus tard "Fugazi" le surpassera largement. 1983, un grand groupe était né.

Mercredi : Bruno a déniché avec enthousiasme un nouveau groupe qui signe sur un label indépendant : Imperial Jade et leur album "On The Rise" 2019. Bruno s’en réjouit, d’autant qu’ils sont espagnols (bonne chance pour percer à l’international…). Mais dites les gars, à part Led Zep en référence ultime, vous avez quoi d’autres à proposer ?

Jeudi : Nema commente un roman original écrit par Oliver Carzon, un auteur Savoyard. Thriller rocambolesque dans et autour de Seysell, charmant patelin sur le Rhône, un pied en Hte-Savoie, un autre dans l'Ain… Des espions, des méchants très méchants, le crash d'un avion de la RAF (d'où le titre Crash à Seysell !) des poursuites et du cocasse digne de James Bond et peut-être même des soucoupes volantes (et pas un effet du GénépiJ)

Vendredi : Luc nous présente Les raisins de la colère, film mythique de 1940. A ce niveau, ce n'est plus un simple film, mais un monument ! John Ford s'empare du bouquin de Steinbeck, et réalise un de ses plus beaux films, même Sonia en avait les larmes aux yeux. Luc et son épaule musclée était là pour recueillir son émotion légitime. Tom Joad sur la route 66, que dire... juste admirer...

Samedi : Claude nous fait partager l'immense chagrin de Felix Mendelssohn qui, après la mort de sa sœur Fanny qu'il idolâtrait en février 1847, compose son 6ème quatuor, œuvre géniale en forme d'épitaphe voire de Requiem pour certains. Ouvrage survolté et hyper romantique interprété avec passion par le quatuor Artémis. Inconsolable, Mendelssohn la rejoindra dans la tombe en novembre, à seulement 38 ans.

RDV lundi : relâche, mais… Sonia en profite pour faire les soldes de énième démarque de disques : Gims, André Rieu… En épluchant son choix, Pat est mdr !!!

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