dimanche 15 décembre 2019

BEST OF MÉMORABLE




Lundi : Claude Toon et Sonia écoutent avec attention deux des meilleures chansons de Léo Ferré : La mémoire et la mer et Avec le tempsClaude aide Sonia à savourer la poésie surréaliste composée d'images de souvenirs intimes idéalisés, magie de la première chanson… De belles peintures illustrent la chronique.

Mardi : Pat a un facteur fan de ses chroniques. Le postier a obtenu un autographe en lui livrant le denier double CD de Nine skies qui revient en force et monte en puissance, après un petit EP de trois titre en 2013. Notre chroniqueur est emballé : "Nine Skies ne suit pas la mode du rock progressif, Nine Skies suit sa propre ligne avec sa propre musique progressive et c’est tant mieux !".

Mercredi : Bruno nous commente le disque récent de Goodbye June titré "Community Inn". Plus de point fort que l'inverse. En résumé : Goodbye June refait enfin son retour chez les disquaires avec un nouvel album nettement plus poilu que le précédent titré "Magic Valley", un opus qui embrasse goulûment un chaleureux Rock aromatisé de saveurs Heavy, southern et alternatives. Mais pas seulement… Surprise…

Jeudi : Rockin remet le couvert avec l'album "Vanités" de  PJ Le Moal, artiste singulier et hors des modes à la noix affichant des influences haut de gamme ; Dylan et les pionniers du blues, les Charley Patton, Skip James, Blind Blake, Mississippi John Hurt et consorts. Depuis les années 80, il a joué dans le métro ou les terrasses de resto, fréquenté la scène blues tourangelle puis toulousaine, côtoyant des artistes comme Alan Jack ou Benoit Blue Boy.

Vendredi : Luc a passé 36 heures à Montfermeil pour relire les Misérables. Pardon Sonia, on mélange tout… Luc nous parle des Misérables, un film de Ladj Ly sur cette ville de banlieue parisienne parmi les plus sinistrées, filmée du point de vue de trois flics, dont Stéphane Ruiz qui vient d’être muté depuis Cherbourg. Film terrible qui nous montre que les cités montrées par les médias sont bien loin d'une violente réalité

Samedi : Claude a hésité des années avant de s'attaquer à un hit noté 7/6 de la musique classique, de la fin du romantisme : Le Chant de la Terre de Mahler ; des poèmes chinois traduits en allemand pour chanter l'épicurisme, le bien vivre et la bonne boisson, l'amour, l'amitié, la tristesse du départ de l'être aimé… Une orchestration délirante mais légère, sonorités magiques grâce à la tonalité occidentale et celle du pentatonisme oriental. Bref, le mot Chef d'œuvre absolu n'est pas usurpé…

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