Lundi : Claude Toon et Sonia écoutent avec attention deux
des meilleures chansons de Léo Ferré
: La mémoire et la mer et Avec le temps… Claude
aide Sonia à savourer la poésie surréaliste
composée d'images de souvenirs intimes idéalisés, magie de la première
chanson… De belles peintures illustrent la chronique.
Mardi : Pat a un facteur fan de ses chroniques. Le postier
a obtenu un autographe en lui livrant le denier double CD de Nine skies qui revient en force et monte
en puissance, après un petit EP de trois titre en 2013. Notre chroniqueur est
emballé : "Nine Skies ne suit pas la mode du
rock progressif, Nine Skies suit sa propre ligne avec sa propre musique
progressive et c’est tant mieux !".
Mercredi : Bruno nous commente le disque récent de Goodbye June titré "Community Inn".
Plus de point fort que l'inverse. En résumé : Goodbye
June refait enfin son retour chez les disquaires avec un nouvel album
nettement plus poilu que le précédent titré "Magic
Valley", un opus qui embrasse goulûment un chaleureux Rock aromatisé de saveurs Heavy,
southern et alternatives.
Mais pas seulement… Surprise…
Jeudi : Rockin remet le couvert avec l'album "Vanités"
de PJ Le Moal, artiste singulier et hors
des modes à la noix affichant des influences haut de gamme ; Dylan et les
pionniers du blues, les Charley Patton, Skip James, Blind Blake, Mississippi
John Hurt et consorts. Depuis les années 80, il a joué dans le métro ou les
terrasses de resto, fréquenté la scène blues tourangelle puis toulousaine,
côtoyant des artistes comme Alan Jack ou Benoit Blue Boy.
Vendredi : Luc a passé 36 heures à Montfermeil
pour relire les Misérables. Pardon Sonia, on
mélange tout… Luc nous parle des Misérables, un film de Ladj
Ly sur cette ville de banlieue parisienne parmi les plus sinistrées,
filmée du point de vue de trois flics, dont Stéphane
Ruiz qui vient d’être muté depuis Cherbourg.
Film terrible qui nous montre que les cités montrées par les médias sont bien
loin d'une violente réalité…
Samedi : Claude a hésité des années avant de s'attaquer à
un hit noté 7/6 de la musique classique, de la fin du romantisme : Le Chant de la Terre de Mahler ; des poèmes
chinois traduits en allemand pour chanter
l'épicurisme, le bien vivre et la bonne boisson, l'amour, l'amitié, la
tristesse du départ de l'être aimé… Une orchestration délirante mais légère, sonorités magiques grâce à la
tonalité occidentale et celle du pentatonisme oriental. Bref, le mot Chef
d'œuvre absolu n'est pas usurpé…
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