Lundi : Cette semaine
c'est Pat qui ouvrait les hostilités. Mot fort mal choisi pour nous parler d'Alain Coulon, écrivain et peintre.
Alain, époux Hélène Gerray dans le civil
(ben quoi pourquoi pas dans ce sens-là ?), la chanteuse anarcho-humaniste
souvent au menu du blog. Chronique sur Les Nouvelles
Histoires Chansons du Capitaine Grossebouche, osmose entre roman
picaresque et poésie. Trop original et talentueux pour passer chez Drucker.
Mardi : Pat est un
fan historique du groupe de progressif Ange.
De là à dire que Pat en est un… Blague à part il a ressorti un album d'un live
de 1977, "Tome VI". Comme toujours
avec Pat, un billet bourré d'anecdotes sur le groupe et plein de détails sur
les différents titres de ces concerts d'anthologie…
Mercredi : Le jour de
Bruno, l'Encyclopædia Britannica du Rock. Au menu : Derrick Dove & The Peacekeepers.
Ni
un savon ni un policier teuton protoplasmique. Un album de 2018
qui fait partie de cette étonnante floraison de groupes de Southern-rock qui,
s'ils ont bien appris des précurseurs et revenants des années 90, ne font pas
dans la nostalgie mais imprègnent leur musique autant de Soul que de Heavy-rock
épais. Une set-list très variée…
Jeudi : Rockin' se
fait un petit plaisir (musical précisons-le) en ressortant un bon vieux disque
de blues rock, en l’occurrence le second album du guitariste/ chanteur/
songwriter Mark May. Sur le gril
: cet album titré : "Telephone road", dont
il signe 10 des 12 plages. Il est entouré de ses "Agitators" Dan Cooper
(basse) et Greg Grubbs (drums) et plein d'autres invités au fil des
titres .
Vendredi : Luc a lu un
bon polar, La nuit la plus longue de James Lee Burke. Un thriller pendant
l'apocalypse de l'ouragan Katrina. Plus qu'un polar, un grand roman sur la
nature humaine, avec ses proies innocentes et les prédateurs qui pullulent,
dont l’intérêt est sans cesse relancé par des rebondissements et découvertes.
Grand livre.
Samedi : Claude Toon
n'avait pas trop le moral. Du coup, il a eu l'idée d'écouter la 1ère
symphonie de Mendelssohn écrite
par un ado de quinze ans en 1824 !!! Virevoltante, gorgée d'énergie par un
gamin a qui la vie a tout donné à l'époque… À la baguette le maestro Christoph von Dohnányi qui cravache avec légèreté la
Philharmonie de Vienne. Claude ragaillardi a pu se lancer dans son papier pour lundi sur Roubaix une lumière, génial à ses yeux mais moins
poilant… Donc à demain !
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