dimanche 16 décembre 2018

BEST OF ON SE LES GELE





Lundi
: Paul un auteur à succès de romans de gare mettant en scène Misery, une héroïne un peu bécasse, se crashe en voiture. Annie, une de ses groupies, le sauve mais va martyriser Paul pour l'obliger à réécrire son dernier livre dans lequel Paul mettait fin à ce début de carrière… Claude a dégusté le film éponyme de Rob Reiner avec James Caan et Katy Bates (oscarisée). La meilleure adaptation d'un ouvrage de Stephen King. Terrifiant.

Mardi : en 79, Francis Decamps en rupture d'Ange sortait cette "histoire de fou" où il  imposait une plume et une folie digne de son frère Christian et un son qui n'est bien sûr pas sans rappeler les grandes heures d'Ange. Si on parle de Prog, Pat n'est jamais loin...

Mercredi : Bruno nous présente selon lui un des meilleurs disques de 2018, le nouveau du Marcus King Band, du nom de ce prodige de 22 ans, un gamin, et son régal de blues and soul. Et si l'avenir du rock passait par le King ? Bruno en tous cas n'est pas loin de le penser…

Jeudi : un petit tour en Alsace (une pensée pour nos amis strasbourgeois) pour notre globe trotter Rockin, qui entre deux Riesling et trois Gewurztraminer a pu goûter au rockab endiablé des Screaming Kids  qui reviennent avec un Ep 5 titres plein de vitamines, entre compos persos et reprises de Led Zep ou Willie Dixon.

Vendredi : Luc, notre docteur ès-Kubrick a revu Lolita adapté de Nabokov, un livre qui fit scandale. Le film en fera autant avec cette affaire scabreuse pour l'époque où un professeur tombe amoureux fou d'une adolescente de 12 ans ! Un peu longuet parfois, mais brillantissime côté mise en scène. Les lunettes de la jeune fille en forme de cœur sont cultes elles aussi…

Samedi : Un bruit court : Claude aurait fait ses adieux au Déblocnot. Sonia est en larmes, Pat se console avec une bouteille de Jack's (hommage à son pote Lemmy) et Luc, les yeux embués, calcule les futures indemnités de notre chroniqueur, en puisant allègrement dans le breuvage de son voisin de bureau. Démenti ! On mélange tout ! Claude a commenté la symphonie "les adieux" de Joseph Haydn. Drôle de nom pour cette œuvre majeure. Explication : Haydn fait partir un à un les musiciens pendant le final. Il avait un message à faire passer à son "prince-patron" qui le retenait avec ses musiciens éloignés de Vienne depuis des mois… Un petit mouvement revendicatif de l'orchestre très"pacifiste" 😊.

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