Lundi : La disparition des grands de la musique du classique ne font pas vraiment la une. Au Deblocnot on palie cette injustice. Pat et Claude rendent hommage à Montserrat Caballé, la diva de Catalogne. Une soprano à la voix d'or qui chanta avec Freddie Mercury l'hymne des jeux olympiques de Barcelone… Une grande dame généreuse qui chanta surtout Verdi, Puccini, Richard Strauss, Wagner et tant d'autres, parfois gratuitement par amour du public…
Mardi
: Pat explore le temps comme du temps de l'ORTF. Sujet du jour la carrière
éclair de Buddy Holly mort dans un crash d'avion à 22 ans. Maigrichon,
binoclard et cravaté (on n'était pas encore au temps des cheveux gras, des tatouages
et des têtes de mort), le petit gars surdoué fut l'un des pionniers du Rock fin
des années 50. Il influencera bien des stars à venir…
Mercredi
: Bruno, lui aussi, explore les origines du rock et l'époque du Stoner, du
Rock-stoner, généralement attribuée aux groupes de Desert-rock qui allaient
faire cracher leurs amplis dans des no-man's land. Et dans le genre, place au
groupe australien Buffalo et son album "VolcanikRock", un disque de dingues ! Un acétate de lave en fusion
!
Jeudi :
on le sait, Rockin aime les minous, lui et ce film/doc de Ceyda Torun étaient
félins pour l'autre. La réalisatrice turque s'attache aux chats de sa ville
natale, Istanbul, chats semi errants de la vieille ville nourris par la
population, avec de beaux portraits de matous mais aussi d'hommes. Kedi, le film à voir en compagnie de son chat mais en laissant les chiens at home !
Vendredi
: On a revu avec Luc sur grand écran le premier succès de Brian de Palma, Phantom of the Paradise, gros délire virtuose autant que foutraque du mythe de Faust, sur fond de glam-rock, rimmel et paillettes, et relecture des grands classiques du cinéma fantastique. Ah merde ! Du coup Sonia veut pactiser avec le diable pour devenir immortelle… La poisse. On va se payer ses CDD encore combien de temps ?
Samedi : Claude était parti à Vienne en 1877 la semaine passée via une porte spatio-temporelle ! Il a mené une enquête sur l'incroyable aventure de la 3ème symphonie d'Anton Bruckner. Mal-aimée, trop difficile pour les instrumentistes de l'époque, elle a été remise sur le métier plusieurs fois pendant 15 ans mais malmenée voir massacrée. En 1981, une version authentique ressuscite ! Une symphonie imposante, pleine de verve, aux accents wagnériens, interprétée ici par Giuseppe Sinopoli…
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