Lundi : l'été, claude mord à pleine dent dans les livres. Avec Sang de Lune, un techno-thriller de Lincoln Child, genre apprécié du Toon, nous voilà embarqué dans une histoire de Loup-Garou, enfin peut-être pas ? Légende ou science interdite, il faut en croquer pour le savoir…
Mardi : Pat continue d'explorer la discographie de
Charlélie Couture. Cette semaine son quatrième album paru en 1981 "Poèmes Rock". Enregistré à New York
avec des musicos qui assurent pour paraphraser Renaud citant Eddy, cet album
est évoqué dans son ensemble par notre admirateur du chanteur.
Mercredi : Bruno a fait la tournée des temples
baptistes, évangélistes, etc. Et ; heu non aucun rapport. Sa chronique porte
sur le chanteur de Blues autoproclamé The Reverend Shawn Amos et son album 2018 : "Breaks It Down". Notre
rédacteur se la joue lyrique " ne se produit pas sur scène pour faire le
clown ou le comédien, mais bien pour prêcher la bonne parole et communiquer les
bonnes vibrations du Blues. Le vrai, l'authentique, celui qui est apte à
guérir, ne serait-ce qu'un instant, les blessures."
Jeudi : Rockin nous revient avec des poches sous les
yeux de la taille de celles des kangourous. Forcément deux mois à faire la
navette avec Sydney pour nous faire découvrir les groupes australiens… Retour
dans sa Bretagne pour nous parler de Dirty Old Mat
et de son dernier album "Vieux Frangin". À la rencontre de la chanson
française style Renaud (un chouia cash et provoc') et du folk. Un sympathique
troubadour breton et anar qui dit ce qu'il pense. Que ça plaise ou pas il s'en
fout, une verve d'homme-orchestre entre révolte et tendresse.
Vendredi : Luc est en mission à Hollywood : ses
starlettes en bikini (ou sans), ses privés, la faune des films noirs. Et il
n'est pas du tout déçu par le film Under The Silver Lake de David Robert Mitchell. Une forme assez déjanté, des
citations et hommages au genre de Mulholland Drive à Vertigo. Luc est revenu
enchanté de la projection.
Samedi : fin des vacances et des petites œuvrettes en
musique classique. Pour redémarrer sur le grand répertoire, claude reste d'humeur
estivale et nous invite à écouter le trépidant 1er trio de Schubert interprété par le légendaire Beaux Arts Trio.
Tout le monde connaît la marche obsédante du 2nd trio, leitmotiv de Barry
Lyndon de Kubrick. Là, Schubert amuse ses amis et nous divertit, une musique
bien gaie alors que le trentenaire Franz sent la mort qui rode.
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