dimanche 18 août 2019

BEST OF FÉLIN (de la mi-août...)




Lundi : Décidément l'Australie est à l'honneur cet été dans nos colonnes, cette fois c'est Bruno qui a vu un DVD live de  Rose Tatoo, enregistré dans une célèbre prison en 1993.  Les kangourous s'y montraient en grande forme et égrènent leurs titres fétiches. 

Mardi : Pat égrène ses souvenirs et sa passion pour le folk Breton… Ici l'album phare des débuts d'Alan Stivell : Chemin de terre de 1973. Même le toon a le vinyle sur ses rayonnages. Il a même entendu le gars à Bobino cette année-là… Et puis ça ne vieillit pas et Pat de conclure "Un bien bel album. Que tous ceux qui partent ou sont partis en Bretagne cet été ont ou ont eu de la chance, car c’est une région de France qui a une culture et une histoire que très peu peuvent lui envier." Ne serait-il pas un peu bretonnant le Pat ?

Mercredi : journée blues-rock avec un papier élogieux de Bruno sur l'album "What Lies Beneath" de Robin Trower de 2009. Prétexte pour notre spécialiste d'un petit cours sur les belles sonorités de différentes guitares. Bruno se veut lyrique "L'album est tel un vieux volcan, plein de majesté et de force intériorisée, qui démontre parfois qu'il peut être encore menaçant par des envolées de guitares intenses et des fumerolles de notes brûlantes, ou encore en déversant quelques paresseuses coulées de lave en fusion…

Jeudi : après les îles la semaine passée Rockin nous fait voyager à la montagne avec une petite sélection de chansons "montagnardes", de l’incontournable Jean Ferrat à Marie Laforet en passant par Dalida ou Tina Turner.

Vendredi : Luc chronique un "roman graphique" de près de 300 pages Papier tue-mouche de Hans Hillman. Une intrigue policière adaptée d'une nouvelle de Dashiell Hammett en forme de BD façon film noir. Une nouveauté ? Ben pas vraiment car ce beau livre accuse 40 ans d'âge ! Belle intrigue retorse, superbes illustrations, voilà un des pères du roman graphique, que l’on peut feuilleter des heures sans se lasser.

Samedi : Claude Toon est de retour de Hte Savoie. On entend depuis son bureau des giclées de fausses notes au piano et des bordées de jurons impossibles à citer dans ce blog de haute tenue. Sonia envoyée enquêter a découvert que notre chroniqueur tentait de déjouer les difficultés virtuoses de la suite "Pour le piano" de Debussy. Une fantasque et pétulante suite inspirée du baroque : prélude, sarabande et toccata. Elle est interprétée avec fougue et panache par Emil Gilels, un spécialiste de l'œuvre.
Dernière heure : Claude a balancé la partition par la fenêtre !

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