dimanche 24 mars 2019

BEST OF DU PRINTEMPS ENSOLEILLÉ




Lundi : Rockin a jailli dans le bureau de Claude blafard de fond de teint et couvert de fausses plaies ! Blague débile pour faire peur au Toon qui a horreur de la plupart des films de zombies. Il commentait Maggie annoncé comme tel… En fait un mélodrame avec Schwarzy qui tente de sauver sa chouette fille atteinte d'un virus planétaire qui la transforme en "zombie", au sens figuré malgré les affreux symptômes. Un jeu à contre-emploi tout en retenue du colosse dans cette série B appréciée par Claude…

Mardi : notre ami Pat poursuit sa série sur les chanteuses dites "rive gauche", engagées, libertaires, anars, avec le portrait de la belge Fanchon Daemers, qui pourrait être la fille cachée de Léo Ferré et Colette Magny. Rendez-vous aux barricades !

Mercredi : Bruno a écouté le dernier opus de  Rival Sons, le quatuor de Los Angeles qui se pose en grand descendant des groupes de heavy-rock, et notre chroniqueur est ressorti comblé (à quelques détails près) de son écoute. C'est classique, c'est rock, c'est du Classic Rock !

Jeudi : Rockin' nous a convié à un superbe documentaire, Twenty feet from strardom, qui convoque toutes les grandes choristes du rock, femmes souvent de l'ombre, mais qui par leur talent ont fait aussi la légende du Rock. Jagger, Springsteen, Wonder ou Sting témoignent de l'engagement et du professionnalisme de ces stakhanovistes du contre-ut. A quand un doc sur les secrétaires de rédaction de blogs, y'a un nom qui me vient à l'esprit...    

Vendredi : Luc a emmené Sonia au cinéma voir Le chant du loup, elle qui ne sait pas nager et est claustrophobe. Çà tombait bien, ça se passe dans un sous-marin. Si le film est vendu comme extrêmement documenté, avec l'aval de l'armée, à l'écran on se pince parfois pour ne pas rire de situations qui semblent hautement improbables, et desservies par des acteurs à côté de la plaque. Pas désagréable, mais le scénario prend l'eau de toutes parts.

Samedi : Bach ou l'éternel retour. Claude nous parle de la suite pour orchestre N°2 du Cantor avec sa flûte traversière solo et sa badinerie si célèbre. Bach transformait les formes de pur divertissement en chef d'œuvre empreint de spiritualité cachée. On a surpris Claude et Sonia dansant la sarabande et la bourrée… Aie ! Une suite de Bach est une ouverture suivie de danses de cour, voilà le pourquoi du comment… A la direction : Nikolaus harnoncourt.

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Sur ce, bon dimanche, il fait beau, sortez vous aérer, et revenez nous lire lundi ! 

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