Lundi : Nema fait les poubelles… Non pas que les rétributions modestes pour ces piges au blog la laissent sur la paille (Luc estime que ça ne vaut pas plus), mais elle nous commente La décharge, un roman drolatique et un chouia pathétique de Paolo Teobaldi. Après avoir tout perdu, Tizio travaille dans une décharge, d'où un roman picaresque en forme de cours magistral sur le recyclage des déchets… Insolite !
Mardi : Pour une fois Pat a rangé ses calembours et s'est fait sérieux pour nous parler de Faby Perier, touché par l'histoire de cette chanteuse rescapée de la maladie qui chante pour vivre, et ses mots n'ont pas laissé insensible notre chroniqueur.
Mercredi : Bruno s'est bien éclaté avec le disque de Yarol Poupaud, longtemps guitariste de feu Johnny, "Un disque où se télescopent des références aussi diverses que l'électro, l'afrobeat, le punk, la Soul, le Blues, le "dancefloor", sans jamais se départir d'une essence Rock", de quoi s'éclater donc, avec de bonnes grosses parties de guitares.
Jeudi : Rockin' affichait une mine tristounette… En cause, le sentiment que le blues hexagonal n'a pas le succès qu'il mérite. Difficile de le consoler en disant qu'il n'y a pas que le blues. Et pourtant ledit Blues se porte bien, la preuve en est avec cet album du groupe AWEK titré "Let's party down" sorti cette année. Dès les premières mesures du titre "Every time", on comprend que la "party" va être belle et durer jusqu'au bout de la nuit avec son ambiance Mississipi…
Vendredi : Luc nous parle de Midgnigt Spécial de Jeff Nicholls sorti en 2016. Lorgnant vers la SF, le film mélange secte fanatique et course poursuite pour retrouver un gamin qui en sait trop sur… et semble posséder des pouvoirs paranormaux !! Luc suit l'affaire et site Spielberg, Terence Malick et John Carpenter. Si ça ce n'est pas des références. Beaucoup de péripéties à ne pas spolier, et le réalisateur montre que l’on n’a pas forcément besoin de 300 millions de budget et de techniques numériques à gogo pour faire naître le mystère et le fantastique.
Samedi : Claude
avait pris froid lors d'une Thalasso… Du coup il est reparti en Finlande (dans
l'équipe on aurait choisi les Caraïbes, mais Claude c'est Claude…). Du coup il
revient avec une chronique sur En Saga,
un poème symphonique de Sibelius. Pas de programme explicite, mais le climat de
cette belle fresque orchestrale s'inspire de du spectacle des forêts, des lacs,
des aurores orangées et du bruit des aventures épiques des héros finnois. Interprétation
au top de Vladimir Ashkenazy.
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