Lundi : entre Claude et Douglas Preston, c'est quasiment une histoire d'amour. Quatrième article consacré à cet écrivain, qui cette fois prend la casquette de reporter et part explorer une cité précolombienne mythique et nommée Cuidad Blanca. Récit d'aventures, de science, d'histoire, depuis lequel notre Claude se la joue Indiana Jones à la rédaction : chapeau mou et fouet (pour épater Sonia), ramenant pour notre plus grand effroi tarentules, serpents venimeux et mystères occultes. Au fait le titre du bouquin : La cité perdue du Dieu singe.
Mardi : on n'arrête plus notre Pat qui court de concerts en festivals. Il était en Beauce, pour le festival de Prog dans la commune de Pierre. Et sur cette pierre je bâtirai ton Rock. De nombreux invités que notre reporter à écouter entre deux allers et retours au bar, où la bière coulait à flot. Beauce, blé, céréale, bière. CQFD. Pat, les notes de frais sont à... tes frais.
Mercredi, Bruno a écouté le deuxième album solo de Billy Gibbons, un des deux barbus de ZZ TOP, pendant que son trio est en convalescence. Un opus résolument boogie-rock qui va ravir les fans de la première heure des texans, à coup de reprises bien roots. La voix a vieilli, mais les doigts sur le manche plus agiles que jamais !
Jeudi : c'est du côté de Toulouse que Rockin' a déniché Staretz, un groupe de musiciens expérimentés qui sort là son 3eme album, un vrai régal à base de soul, rythm'n'blues, rock racé, funk, garage ; un vrai coup de cœur pour notre chroniqueur.
Vendredi : c'est piscine, avec Luc et une bande de bras cassés de la vie, qui sous la caméra de Gilles Lellouche, plongent dans LE GRAND BAIN. Le carton de cette fin d'année, comédie où on rit (et ouais...) sur le malheur des autres. Grosse sortie, gros budget, gros casting, et au final une belle réussite. A quand Bruno, Rockin', Pat et Claude en maillot, avec Sonia en entraineur ? (j'ai pas dit entraineuse...).
Samedi : Dans la série chronique sur les symphonies de Mendelssohn, Claude nous présente la petite dernière (publiée), la 5ème. Son titre : "Réformation" car destinée à la commémoration du tricentenaire de la Confession d'Augsbourg, texte fondateur du luthéranisme… Dit ainsi, ça paraît aride et sévère et ce ne l'est pas du tout. Le Toon nous fait découvrir une œuvre concise et colorée avec un choral final peu sulpicien. On y écoute la Philharmonie de Berlin dans une interprétation allégée de Lorin Maazel.
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