MARDI : les narines encore sensibles aux effluves de marie-jeanne
(voir semaine dernière) Pat a embrayé avec le premier disque psychédélique
des Beatles,
« Rubber Soul » qu’il nous a décortiqué copieusement, déclarant sa flamme pour les 4 de
Liverpool, tout en égratignant les 5 de London.
MERCREDI : autre classique rock commenté par Bruno, le « Ot‘n’ sweaty » de Cactus, une des plus belles face A live à l’ouest du Pécos, chevauchée boogie-rock furieuse dominée par la paire rythmique Appice/Bogert revenu de Vanilla Fudge.
JEUDI : arrêtez ou je fais un Malher ! a hurlé Claude en arrivant au bureau, non qu’il fût de mauvais poil, mais faisant référence à son pote Gustav Malher, et ses "Des Knaben Wunderhorn", des chants populaires allemands mis en musique par le compositeur romantique autrichien. En vedette, le baryton à la voix de velours de Thomas Quasthoff et la diva Anne Sofie von Otter. A la baguette du Berliner : Claudio Abbado
VENDREDI : Luc a revu pour nous le film
d’Anatole Litvak
« La Nuit des généraux », fresque historico-guerrière saupoudrée d’enquête policière, avec une
pléiade de stars franco-britanniques. Une histoire de nazi sociopathe. En
écrivant ça je me rends compte qu’on frise le pléonasme.
💬 Bon dimanche, rendez-vous la
semaine prochaine avec des fraises Tagada, un arc en ciel, des (Sean)
conneries… Veinards. Et au revoir à la maman des Fabulettes, Anne
Sylvestre…
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