dimanche 5 janvier 2020

LE BEST-OF DE LA FORCE




Lundi : c'est relâche… Et oui, vous le savez, depuis que notre collègue Rockin'JL est parti se la couler douce aux Iles Marquises, en compagnie de Philou et Sonia, le reste de la troupe, encore sous le choc de ce départ, met la pédale douce sur les publications. Ben oui, on n'a plus la vigueur de nos 20 ans… Cela dit, les rédacteurs ont des activités d'éveil sympas

Mardi : Pat a réécouté un des albums emblématiques du groupe Ange, Par les fils du mandrin, le groupe de rock prog français qui va fêter ses 50 années de carrière, ce n'est pas rien. Et notre chroniqueur annonce déjà qu'il a reçu son carton d’invitation pour la fiesta…

Mercredi : une fois n'est pas coutume, Bruno nous parle de cinéma, et d'un des films les moins connus de Ridley Scott, Legend. Le metteur en scène y délaisse un peu son univers noir d'Alien ou Blade Runner, mais garde intact son goût pour le fantastique, à travers cette épopée poétique.

Jeudi : Diablotin a fait son premier saut spatio-temporel dans l'Angleterre victorienne. Au programme, les célèbres variations Enigma de Edward Elgar, compositeur fétiche outre-manche. Une suite de pièces poétiques et drolatiques portraiturant les amis du compositeur. Diablotin, dans un style différent du Toon, reste concis au bénéfice de l'écoute de versions cultes : Elgar (dans les années 20), Toscanini, Adrian Boult (le son s'améliore) et enfin Giuseppe Sinopoli… Un article à déguster par épisodes…

Vendredi : toutes choses ont une fin, même la saga Star Wars, dont Luc est allé voir le dernier opus. Les souvenirs d'enfance sont une chose, la réalité à l'écran 40 ans plus tard en est une autre… Si le spectacle est esthétiquement bien foutu (à ce prix c'est le strict minimum) le scénario multiplie les incohérences et cet épisode final trop décousu, déçoit. Il était temps que ça se termine, d'autant que le bilan carbone d'un sabre laser, hou, j'vous dis pas…

Samedi : Claude s'emballe dans un papier détaillé à propos du 22ème concerto pour piano de Mozart. Au clavier : Alfred Brendel, grand pianiste autrichien qui n'avait jamais fait la une du blog, au pupitre, Neville Marriner et son orchestre aérien, the academy of Saint-Martin in the fields… Citons maître Toon : du mordant, de l'ironie, de la fougue, de la poésie, de la sensualité… Pas mal, non !?

RDV lundi : Le lundi s'est relâche après le départ de J.L. mais… Sonia et Claude ont été désignés pour aller faire le ménage des bureaux ; Claude encadre et Sonia astique… Pardon ? Comment ça ? Quelle misogynie ?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire