Lundi : c'est relâche… Et oui, vous le savez, depuis que notre collègue Rockin'JL est parti se la couler douce aux Iles Marquises, en compagnie de Philou et Sonia, le reste de la troupe, encore sous le choc de ce départ, met la pédale douce sur les publications. Ben oui, on n'a plus la vigueur de nos 20 ans… Cela dit, les rédacteurs ont des activités d'éveil sympas…
Mardi : Pat a
réécouté un des albums emblématiques du groupe Ange,
Par les fils du mandrin, le groupe de rock
prog français qui va fêter ses 50 années de carrière, ce n'est pas rien. Et
notre chroniqueur annonce déjà qu'il a reçu son carton d’invitation pour la
fiesta…
Mercredi : une fois
n'est pas coutume, Bruno nous parle de
cinéma, et d'un des films les moins connus de Ridley
Scott, Legend.
Le metteur en scène y délaisse un peu son univers noir d'Alien
ou Blade Runner, mais garde intact son goût
pour le fantastique, à travers cette épopée poétique.
Jeudi : Diablotin a fait son
premier saut spatio-temporel dans l'Angleterre victorienne. Au programme, les
célèbres variations Enigma de Edward Elgar, compositeur fétiche outre-manche. Une
suite de pièces poétiques et drolatiques portraiturant les amis du compositeur.
Diablotin, dans un style différent
du Toon, reste concis au bénéfice de l'écoute de versions cultes : Elgar (dans
les années 20), Toscanini, Adrian Boult (le son
s'améliore) et enfin Giuseppe Sinopoli… Un article à déguster par
épisodes…
Vendredi : toutes choses
ont une fin, même la saga Star Wars,
dont Luc est allé voir le dernier opus. Les
souvenirs d'enfance sont une chose, la réalité à l'écran 40 ans plus tard en
est une autre… Si le spectacle est esthétiquement bien foutu (à ce prix c'est
le strict minimum) le scénario multiplie les incohérences et cet épisode final
trop décousu, déçoit. Il était temps que ça se termine, d'autant que le bilan carbone d'un sabre laser, hou, j'vous dis
pas…
Samedi : Claude s'emballe dans un papier détaillé à propos
du 22ème concerto pour piano de Mozart.
Au clavier : Alfred Brendel, grand pianiste
autrichien qui n'avait jamais fait la une du blog, au pupitre, Neville Marriner et son orchestre aérien, the academy of Saint-Martin in the fields… Citons
maître Toon : du mordant, de l'ironie, de la fougue, de la poésie, de la
sensualité… Pas mal, non !?
RDV lundi : Le lundi s'est relâche après le départ de J.L. mais… Sonia
et Claude ont été désignés pour aller faire
le ménage des bureaux ; Claude encadre et Sonia astique… Pardon ? Comment ça ? Quelle misogynie
?
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