Mardi
: Pat
Slade n'a jamais aimé le groupe
francophone Téléphone. Ça en a foutu
un coup à ses lecteurs. Cependant, malgré tout et cela dit, il aime leur
premier album de 1977 nommé de manière très originale "Téléphone". Pat reconnait que certains titres fleurent bon le bon Boogie rock avec
de chouettes solos de guitare. Si on ajoute
Bertignac dans ses œuvres et que l'on
entend bien son penchant pour les
Rolling Stones avec un jeu de guitare
que ne renierait pas Keith Richards,
pour cet opus, le compte y était.
Mercredi
: Bruno continue de constituer son anthologie des groupes qui firent un tabac
avec leur premier album, mais dont la carrière partit aussitôt en
fumée… Il ajoutait cette semaine à sa liste les ricains de "Taddy Porter"
En 2010, ce quatuor déboule avec un premier album éponyme presque
parfait. Depuis, retour à un quasi anonymat ; à une simple
gloire locale, voire régionale… Pas une raison pour boycotter cet opus one prometteur !
Jeudi
: Le Toon
croyait naïvement que woke désignait une gamelle pour cuisiner chinois.
D’où son interrogation en abordant le brûlot de
Benjamin titré
"Non au woke'n'roll !"
à propos des Rolling Stones.
Renseignement pris, le woke évolue parfois vers un mouvement d'ultra-chieurs qui voit le mal partout, veulent interdire et
supprimer toute expression littéraire ou artistique contraire à leur
pensée d'intégristes du bienpensant. Le billet est une lettre ouverte à
Mike Jagger l'incitant à résister à
ces gens-là en refusant la suppression d'un titre mythique "Brown Sugar" (argot pour héroïne), une chanson mêlant esclavagisme, drogue,
sexualité noire- blanc. En 1971, ça passait, mais les féministes s'en sont
mêler et Mike a cédé en décidant en
2021 de sortir le titre du répertoire et de l'album… Grrr ! Du coup, le
Le Toon a lu le texte de la chanson
et… heu, c'est plutôt un chant de révolte contre l'abjection… Alors ?
Vendredi : Luc est allé voir "Madres Paralelas", le 7ème film tourné avec Penelope Cruz par Pedro Almodovar. L’ibère-actif cinéaste interroge la période noire de l’Espagne, celle où Franco avait fait enfouir dans des charniers oubliés des victimes des phalangistes. Dans cette quête mémorielle, Janis (Penelope Cruz) fait des recherches avec un anthropologue, Arturo, qui d'associé va devenir l'amant d'un soir… Histoire et mélodrame (forcément), un bon cru…
La semaine à venir : nous écouterons les Beatles jouer du Revolver et la symphonie dite "Liturgique", qui ne sent absolument pas les encensoirs, d'Arthur Honegger. Côté cinéma et Rock, pop ou blues, les sujets sont au secret dans le coffre mais Sonia a perdu les clés...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire