Lundi : c'est relâche… Hugo
doit trouver des vidéos musicales pour Claude
: un titre RnB écoutable et l'air de la reine de la nuit de Mozart. Ah les débutants : un
délire "porno" de Kanye West avec
les mots "baise" et "fuck" utilisés des dizaines de fois,
et Mozart chanté en 1944 par l'impayable Florence Foster Jenkins qui chantait aussi faux
qu'une hyène enrouée 😅. Sonia l'aide à améliore
son choix avec notamment la diva Rita Streich…
Mardi : Pat a monté un business lucratif : la
vente-revente (en un mot le trafic réglé en biftons) de vinyles rares en pop, chanson, rock, etc. Des fortunes dorment peut-être
au fond de vos armoires. Il cite des exemples de trésors hors de prix et nous
propose deux vidéos hyper pédagogiques. Claude fait la gueule, ses deux Mireille Mathieu authentiques des années 60 ne
valent pas plus que 1 € pièce !!! 😖 Ah, il a un Tchaïkovski
Ogdon-Barbirolli coté 200 € ! 😋
Mercredi : Bruno nous remémore un disque du bon vieux temps :
"The Time Is Near…" de 1970 du Keef Hartley band. Keef Hartley, un batteur qui réalisa avec son
groupe quelques disques. Un style personnel, des influences amérindiennes dans son inspiration ; la forte présence des cuivres, il est vrai
parfois un peu jazzy, et quelques mouvements
typés (étirés sur scène), lui ont également valu d'être affilié au mouvement Jazz-fusion. Bruno
classe le genre plutôt dans le blues-rock.
Jeudi : Rockin
a
fait un passage tout bronzé et même écrit un papier consacré au dernier album d'Éric Frasiak, "Charleville" de 2019. Toujours survolté, il
aborde des sujets brûlants de société avec punch. On retrouve le Frasiak, héritier de Ferré
et Béranger, qui nous explique que son
anarchie ce n'est pas le chaos et les têtes coupées mais un "hymne à la vie", la liberté, l'utopie. Un
grand cru qui a obligé notre JL à quitter les cocotiers et les vahinés… 😎
Vendredi : Luc est intarissable sur certains films cultes.
Cette semaine A star is born (une
étoile est née) de Georges Cukor de 1954 qui
flirte avec la comédie musicale. Même si on connait l’histoire, même si on
pense en connaitre la fin, A star is born est
une grande tragédie en sens théâtrale du terme, un modèle de construction
scénaristique, un enchantement de cinéma, un regard acéré sur Hollywood, porté
par Judy Garland et James
Mason. Waouh, une passion de notre rédacteur…
Samedi : Claude termine un sacré périple ! Huit ans à
explorer et nous guider à travers le cycle des dix
symphonies du compositeur autrichien Anton Bruckner. Il termine par la 1ère (logique), une œuvre
écrite à Linz avant que le bonhomme aille se
faire étriller par les critiques snob de Vienne.
Du coup un succès et surtout une symphonie optimiste et un peu folle qui sera
l'unique franc succès de sa vie. Au pupitre : le maestro mort nonagénaire il y
a a peu : Stanislaw Skrowaczewski (ça s'écrit
comme ça se prononce 😬).
Et demain c'est relâche. Hugo est en congé scolaire mais Sonia profite du calme pour écouter en prenant des
notes la B.O. de John Williams pour le film
bouleversant de Spielberg : La liste de Schindler.
Désolé Claude ! Mais après vérification, tu trouveras le concerto n°1 de Tchaïkovsky couplé avec les Variations symphoniques de César Franck par John Ogdon avec The Philharmonia Orchestra dirigé par Sir John Barbirolli sur un pressage australien de 1963 chez "His Master's Voice" (Ref ASD 542) mais pour seulement 35.00 € (Mais en très bonne état) ! ;)
RépondreSupprimerTu casses ma baraque !!!! :o)
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