dimanche 14 juillet 2019

BEST OF : FEU D'ARTIFICE DE CHRONIQUES




Lundi : Claude Toon revisite le cinéma de son temps, juste avant-guerre…  Ah non pardon, Sonia nous dit qu'il est né après, quand même. Peu importe, Jean Gabin et Michelle Morgan "t'as de beaux yeux tu sais" dans Quai des brumes de Carné, tout le monde connait. Même couple tragique en 1939, mais dans Remorques de Jean Grémillon, drame sentimental dans l'univers des sauveteurs en mer. Dialogue de Jacques Prévert, grand classique à découvrir…

Mardi : Pat a rencontré le grand esprit ou plutôt Wakan Tanka, dans la salle à coté de chez lui où il a ses petites habitudes ( merguez, bieres). Un groupe local  qui fait de" l'electro pop-rock  alternatif garage", euh ça donne quoi ça ? Et bien c'est pas mal du tout, avec des influences variées, dont les Doors et des grattes qui sonnent.  

Mercredi : 9 ans déjà que Ronnie James Dio nous a quitté, avec  Elf, Black Sab', Rainbow, ou Dio   il aura marqué 3 décennies de hard rock. Bruno revient sur "Holy diver" de 1983 son premier album estampillé Dio et peut être le meilleur, un classique de heavy rock percutant  où le lutin prouve son statut d'un des meilleurs chanteurs du rock. 

Jeudi : Rockin ressort son artillerie pour nous parler d'un western de 1960 "Les 7 chemins du couchant", et en profite pour nous raconter les faits d'armes d'Audie Murphy qui avant sa carrière d'acteur s'illustra en étant un héros de la seconde guerre mondiale. Son duo avec Barry Sullivan est l’intérêt principal de ce petit film qui se laisse voir.

Vendredi : Luc à vu cette semaine Yesterday de Danny Boyle dans lequel un musicien minable se réveille après un accident dans un monde où les Beatles n'ont jamais existé. Une idée de départ déjà vu, dans Jean Philippe par exemple, mais traitée différemment, c'est excellent et la BO est hallucinante ; à voir sans faute.

Samedi : Claude ne défile pas avec les vétérans ce matin. Le 14 juillet, les fanfares s'en donnent à cœur joie ! Berlioz écrit en 1840 un ovni pour près de 200 bois, cuivres et percussions pour commémorer le transfert des cendres des 2000 victimes de la révolution de 1830 à la Bastille. Il l'appellera Symphonie funèbre et triomphale. La création fut joyeusement bordélique… Sacré Hector un peu allumé ; en plus c'est vachement bien composé…

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