dimanche 31 mars 2019

BEST OF HYPNOTIQUE




Lundi : Claude nous parlait de Trance, un thriller dans lequel une Psy sexy pratique l'hypnose sur des braqueurs un peu niais placés sous la houlette de Vincent Cassel. Un gang qui a volé un Goya mais a trouvé le moyen de le paumer dieu sait où ? la psy ouvre les mémoires et vide les poches. Notre rédacteur raffole des films tarabiscotés dans lequel, comme ici
Danny Boyle, le réalisateur manipule dans un imbroglio étrange l'histoire et le public, sans que le film débouche sur une vérité absolue... Et de citer Mulholland Drive ou Inception. Trance étant moins élaboré mais plus poilant...

Mardi : Voici Pat, notre Mr Prog (ne pas confondre avec Mr Propre) avec sous le bras le premier album solo de Steve Hackett, "Voyage of the acolyte" de 1975. Ça ressemble à du Genesis ? Normal puisque le guitariste a convié tous ses copains du groupe, Phil Collins et Mike Rutherford en tête !

Mercredi : Encore un album solo du guitariste d'un grand groupe, Pat et Bruno se sont donné le mot ! Là c'est Joe Perry d'Aérosmith qui suite à des crêpages de chignon (au sens propre nous explique Bruno) montait son propre projet en 1980  et sortait ce "Let the music do the talking", du classic rock de bonne facture.

Jeudi : Un western italien inédit en dvd, avec un Giuliano Gemma virevoltant et derrière la caméra le maître de l'épouvante Lucio Fulci, Rockin ne pouvait pas rater ça !  Ce film fit un bide à sa sortie pourtant il est plutôt intéressant et original  alors tous à cheval sur la "Selle d'argent" !

Vendredi : Pas de ciné pour Luc mais un concert, c'est bien aussi ! Il a vu à la Cigale les Lemon Twigs, fondé par deux frangins d'une vingtaine d'années et natifs de Long Island. Les frangins jouent de tous les instruments et ont été biberonnés au rock anglais, Beatles Kinks, Bowie, T-Rex et compagnie. Il faudra travailler leur look d’après Luc, mais coté zic ça assure !

Samedi : On avait entendu un coq chanter dans le bureau de Claude et Sonia glousser. Ils s’amusaient comme des gosses. Explication : Le Toon préparait son papier du samedi consacré à la suite du Coq d'Or tirée de l'opéra éponyme de Rimski-Korsakov. Une suite orchestrale aux sonorités cuivrées et orientalistes. L'opéra critiquait ouvertement le tsarisme à bout de souffle et fut victime de la censure...

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