SOMEWHERE, OVER THE BEST-OF...

LUNDI : de la lecture avec Nema, qui n’est pas restée insensible au charme du bel italien Andrea de Carlo, qui évoque dans « Océans de vérités » la faim dans le monde, sur le mode du thriller, qui décrit le fonctionnement du monde de la politique et des médias, donnant une image assez noire des petites magouilles autour du pouvoir.  

MARDI : Pat a passé la nuit au poste à écouter « Reggatta de Blanc » le deuxième album de The Police, poursuivant la veine du premier opus, mélange de pop-punk et de reggae, un disque qui avec son lot de tubes va définitivement placer le groupe de Sting parmi les poids lourds du circuit.

MERCREDI : le jovial Bruno a déroulé le tapis rouge au ténébreux Ritchie Blackmore, qui fait encore des merveilles à la stratocaster sur « Bent out of shape », le dernier album de Rainbow première période, un disque certes calibré Fm, mais avec des compositions dignes de ce nom, très haut dessus du niveau de l’époque peroxydée.

 

JEUDI : après son billet marathon sur Malher qui l’avait laissé sur les rotules, le médecin de Claude lui a conseillé de lever le pied, lui a prescris un court « Quatuor n°16 opus 135 » de Beethoven à écouter au milieu des repas avec un verre d’eau…

VENDREDI : d’habitude, Luc nous épargne les films qu’il n’a pas trop aimés (on appréciera l'élégance du geste) mais il a fait une exception pour « La Bête » de Bertrand Bonnelo, chagriné de ne pas avoir pu apprécier un film dont il attendait beaucoup, le fait que la salle se soit vidée le laissant seul n’est pas franchement bon signe…    

👉 La semaine prochaine, flute de pan et bonnet en laine de lama pour Pat et Los Chacos, Billy Squier sera chez Bruno et Bruce Springsteen chez Benjamin, et Luc a ressorti un classique (encore ?!) de Fritz Lang.

Bon dimanche.