LUNDI : Claude Toon est sensible et un
fan du cinéma néoréaliste italien. Il nous a proposé de voir ou revoir
« Allemagne année zéro » de Roberto Rosselini. Ce film de 1949 nous conte
l'histoire tragique d'Edmund, un gamin de douze ans aux prises avec
les fantômes maléfiques du nazisme dans un Berlin en ruine… Chef d'œuvre
!
MARDI : Pat Slade est très
sensible à la carrière de son pote
« Franck Carducci » qui délaisse un temps sa formation électrique pour un album en duo,
acoustique, intime, qui puise dans son répertoire et celui de
Mary Reynaud. À lire : son billet sur l’album
« Naked »
dans lequel, par définition, le couple se dévoile (artistiquement parlant,
naturellement, le Deblocnot est un blog de haute tenue).
MERCREDI : Bruno est sensible au rock de
l’ancien régime, mais pas que. Exemple son papier sur Moho Vvivi
« Komando »
(2023). D’anciens compagnons de route du Trust et autres combos de
l'époque. Mohamed Chemlakh et Yves Brusco se remettent à la
colle pour un disque au souffle euphorisant, véritable bouffée d'oxygène,
le wokiwoll français is not dead !
JEUDI : Claude est sensible (état
chronique) et le chevalier blanc des composit•eurs•rices injustement
oublié•e•s* des siècles passés. Cette semaine la française « Louise Farrenc », musicienne majeure du XIXème siècle (et militante féministe),
qui retrouve de nos jours sa célébrité perdue. Aujourd'hui : deux belles
« Symphonies, les
N° 1 & 3 » (1842/1847) dirigées par la très populaire maestra
Laurence Equilbey ; vivent les filles !
(*) Nota : c’est super cool l’écriture inclusive. Je ne comprends
pas les oppositions. Sonia a mis deux plombes à trouver la méthode et
surtout… « le point milieu » dans Word ! 😊 😊 Elle me hait 😬, d'autant que ce n'est pas directement portable en HTML dans le bog 😂 ! "Claaauuuude, tu m'aides".
VENDREDI : Luc est sensible à nous
faire découvrir le cinéma noir des années 40-50 yankee. Exemple avec sa
chronique sur le film qui a défié la censure du code Hays, qui montre tout
ce qu’il ne fallait pas montrer sur un écran, le retour en grâce de
Frank Sinatra, la sublime mise en scène en longs plans séquences, la
musique jazz et le déhanché de Kim Novak… À l’écran :
« l’homme au bras d’or » de Otto Preminger (1955) n’en jetez plus, superbe !
👉 On se revoit lundi pour commencer pieusement la Semaine Sainte
avec une
Passion de Bach
en version culte, puis un album de 1986 de
Hubert Félix Thiéfaine, le jazz de Kawasi Washington
et deux billets « surprise » de Bruno et de Luc. Bon
dimanche.
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