dimanche 11 décembre 2022

BEST-OF IMPRESSIONNISTE

LUNDI : Claude Toon complète la catégorie de chroniques "Art", son nouveau dada ! Cette semaine, Alfred Sisley, pionnier de l'impressionnisme avec ses amis Renoir, Monet, sans doute plus connus et Frédéric Basille à découvrir dans deux semaines. De l'invention de la peinture en tubes Lefranc, permettant d'échapper aux ateliers, jusqu'aux aux magnifiques paysages de Sisley opposant les ciels et les eaux… Claude joue au guide !

 

MARDI : Pat Slade se promeut chroniqueur classique et il a bien raison car il propose une découverte dans le blog : deux concertos pour violons (1852/1870) du compositeur polonais Henryk Wieniawski surnommé le Chopin du violon. Pas forcément génialissime (quoique… le 2ème…) mais très vivants et virtuoses sous l'archet de Itzhak Perlman accompagné par la Philharmonie de Londres dirigée par Seiji Ozawa; deux chouchous de Pat !

 

MERCREDI : Bruno s'est donné pour mission l'archéologie du Rock… Encore un groupe un tantinet oublié : Damnation et son album "The scond Damnation"…  Enfer et damnation ! Pourtant le charme de nombre de ses chansons a fait que les disques de ce quintette, après la folie du tout punk puis du "métôl", sont devenus des objets de recherche pour les amateurs de musique rock typée 60's et début 70's.

 

 

JEUDI : Claude et musique classique le retour. Autre nouvel entrant dans le blog, le baroqueux allemand Carl Friedrich Abel (1723-1787), dernier virtuose de la viole de gambe et auteur par paquets de six (comme les boîtes d'œufs croit bon d'ajouter Sonia) de concertos grossi, sonates, etc. avec son pote Johann Christian Bach. Nous avons pu écouter quatre concertos pour flûte et apprendre que le patin à roulette est une invention belge 😊.

 

VENDREDI : Luc a vu en salle Armageddon Time de James Gray. Une histoire de famille comme le réalisateur les aime, ici les relations entre un enfant et son grand-père, le seul à l'aimer vraiment dans le Queens des années 80, un récit quasi autobiographique d'après Luc. La mise en scène est toujours aussi élégante, et classique (au bon sens du terme). Si le film est délicat, sensible, intelligent, il manque sans doute de souffle épique et de chair.

 

👉 Et pour la semaine à venir : Encore un compositeur baroque méconnu : l'anglais Charles Avison inspiré par Scarlatti, "Crusade" de John Mayall And The Bluesbreakers, L'album "The works" du groupe Queen, Le film "Annie colère", et bien entendu un papier surprise de Bruno.


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