LUNDI :
Claude Toon complète la catégorie de
chroniques "Art", son nouveau dada ! Cette semaine,
Alfred Sisley, pionnier de l'impressionnisme avec
ses amis Renoir,
Monet, sans doute plus connus et
Frédéric Basille à découvrir dans
deux semaines. De l'invention de la peinture en tubes Lefranc, permettant
d'échapper aux ateliers, jusqu'aux aux magnifiques paysages de
Sisley opposant les ciels et les
eaux… Claude joue au guide !
MARDI :
Pat Slade se promeut chroniqueur
classique et il a bien raison car il propose une découverte dans le blog :
deux
concertos pour violons (1852/1870) du
compositeur polonais
Henryk Wieniawski
surnommé le Chopin du violon. Pas
forcément génialissime (quoique… le 2ème…) mais très vivants et
virtuoses sous l'archet de
Itzhak Perlman accompagné par la
Philharmonie de Londres dirigée par
Seiji Ozawa; deux chouchous de Pat
!
MERCREDI :
Bruno s'est donné pour mission
l'archéologie du Rock… Encore un groupe un tantinet oublié :
Damnation
et son album "The scond Damnation"…
Enfer et damnation ! Pourtant le charme de nombre de ses chansons a
fait que les disques de ce quintette, après la folie du tout punk puis du
"métôl", sont devenus des objets de recherche pour les amateurs de musique
rock typée 60's et début 70's.
JEUDI :
Claude et
musique classique le retour. Autre nouvel entrant dans le blog, le
baroqueux allemand
Carl Friedrich Abel
(1723-1787), dernier virtuose de la viole de gambe et auteur par paquets
de six (comme les boîtes d'œufs croit bon d'ajouter Sonia) de
concertos grossi,
sonates, etc. avec son pote
Johann Christian Bach. Nous avons pu
écouter quatre concertos pour flûte et apprendre que le
patin à roulette est une invention
belge 😊.
VENDREDI :
Luc a vu en salle
Armageddon Time de James Gray. Une histoire de
famille comme le réalisateur les aime, ici les relations entre un enfant
et son grand-père, le seul à l'aimer vraiment dans le Queens des années
80, un récit quasi
autobiographique d'après
Luc. La mise en scène est toujours
aussi élégante, et classique (au bon sens du terme). Si le film est
délicat, sensible, intelligent, il manque sans doute de souffle épique et
de chair.
👉 Et pour la semaine à venir : Encore un compositeur baroque
méconnu : l'anglais Charles Avison inspiré par Scarlatti, "Crusade" de
John Mayall And The Bluesbreakers, L'album "The works" du groupe
Queen, Le film "Annie colère", et bien entendu un papier surprise de
Bruno.
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