LUNDI
: Claude Toon milite pour que l'on
considère que
Images pour orchestre
de Debussy ne soit plus considérer comme une régression postromantique du
compositeur par rapport à la Mer.
Gigues,
Ibéria et
Ronde de printemps, certes intègrent
danses espagnoles et chansons populaires mais avec quelles belles couleurs
sous la baguette de Pierre Boulez à
Cleveland en 1969…
MARDI
: Pat Slade parlait de nitroglycérine
la semaine passée (Le salaire de la peur) pour dynamiter mardi, grâce à
Peter Weir, réalisateur de
The Truman Show, la folie imbécile des Reality Shows qui parasitent les programmes TV pour
un public crétin. Jim Carey vit depuis
sa naissance dans une ville-bulle-artificielle peuplée de figurants, et…
filmé 24/24… Flippant et visionnaire ; la télé poubelle.
MERCREDI
: Bruno notre grand gourou
blues-(Hard)rock est parti au Canada. On y trouve aussi de grands artistes
telle la blonde et sculpturale
Sass Jordan. Il commente Rats, un album de
1994 de douze titres… c'est pas mal,
beaucoup même pour un seul disque. Pourtant, pas de déchets ici, que du bon,
de l'impérissable. Sass se montre
mordante et débordante d'énergie. De plus,
Le Toon, en pleine période peinture, a
admiré la pochette !!!
JEUDI
: Benjamin nous parle d'un temps que les moins de… Celui du
guitariste et
bluesman né en 1936
Buddy Guy. Bon exemple du talent du bonhomme, l'album de 1968 "This is Buddy Guy !". Buddy Guy connaissait bien des
mésaventures avec les labels. Mais là, bingo ! Puissance nostalgique
drapée dans la chaleur des cuivres, groove irrésistible venu des lupanars
de Chicago, violence rageuse flirtant avec le rock le plus cru,
This is Buddy Guy !
contient toute la splendeur de ce que les journalistes nommèrent le blues
rock.
VENDREDI
: Luc a très logiquement vu en salle
Couleur de l'incendie, la suite de En
revoir là-haut, les deux adaptations
des premiers tomes de la saga de
Pierre Lemaître. Derrière et devant la
caméra, Clovis Cornillac succède à
Albert Dupontel. Un poil déçu notre
expert cinéphile mais pas trop. On le cite : c'est du bon cinoche du
dimanche soir, bien fait, académique oui, mais dans le bon sens du terme,
allez-y avec vos gamins, les mamies, les voisins, ça fera des entrées. Le
(vrai) Cinéma en a besoin !
Léa Drucker est divine…
👉 Et pour la semaine à venir : Le peintre Paul Serusier de l'école de Pont-Aven, Le blues-rock du groupe The Notting Hillbillies, la "grande" symphonie n°9 de Schubert par Günther Wand, Les Amants de la nuit, un film noir grandiose et romantique de Nicholas Ray et la surprise du chef de Bruno…
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