dimanche 13 novembre 2022

LE BEST-OF DE LA PEUR

LUNDI : un peu de lecture avec Nema et l’écossais Peter May qui avait reçu le prix du polar à Cognac pour « Le braconnier du lac perdu », un flic évidemment désabusé, des caractères typés, tourmentés mais très attachants comme le relief des Hébrides.

MARDI : après avoir chevauché sa Harley la semaine dernière, Pat est monté au volant d’un camion de nitroglycérine, pour suivre les héros de « Le salaire de la peur » l’immense classique d’Henri George Clouzot qui avait raflé palme d’or (film et interprète) et ours d’or. Respect.       

MERCREDI : "le succès est parfois plus le résultat d'une combinaison d'opportunités, de timing, de charisme plus que de simple talent". Bruno cumule l’ensemble, c’est lui qui pêcho le plus à la rédac… Tout ça pour dire que Three Man Army avec « A Third of a Lifetime » avait tout pour être célèbre, sauf le coup de pouce du destin.




JEUDI Claude ne nous n'avait jamais proposé d'écouter la musique de Manuel de Falla . Et bien c'est chose faite avec le ballet « Le Tricorne ». Un vaudeville trépidant (un orchestre chamarré influencé par ses amis actifs dans les ballets russes comme Stravinski ou Debussy). Une interprétation sous amphétamines de Josep Pons.

VENDREDI : Luc nous a raconté une histoire belge, tirée de la série Striptease de Jean Libon, « Poulets frites » nous fait participer à une enquête de meurtre sordide, dont l’indice crucial est une frite, c’est captivant et paradoxalement très drôle.     

👉 On se retrouve la semaine prochaine, avec entre autres Claude Debussy (on a le budget) un formidable film de Peter Weir (qui n’en a pas ratés beaucoup), le bluesman Buddy Guy (un chouette gars), et la suite en couleurs de Au revoir là-haut au cinéma. 

Bon dimanche.  


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire