LUNDI : avec la pénurie d'essence, Claude a peur que les lecteurs n'aient pas eu envie de pétroler en ce lundi automnale. Il nous propose un peu de baume au cœur avec la « Sinfonia » de Mozart pour hautbois, clarinette, basson, cor et orchestre de chambre. Vraiment de Mozart ? Haha, le mystère est là…
MARDI : Pat a revu pour nous le premier film de Jean Jacques Beineix qui avait fait sensation en son temps, quatre césars pour son divin « Diva », mariage du lyrique, du polar et de la poésie urbaine, et une galerie de fameux seconds rôles à trognes.
MERCREDI : au menu chez Bruno le trio gallois Budgie qui ne semblait pas payer de mine, mais qui a pourtant influencé parmi les chefs de file de la NWOBHM, leur « Never Turn Your Back on a Friend » oscille entre heavy métal et rock progressif, aux textes saupoudrés d’humour.
JEUDI : un Benjamin en apnée, retenant son souffle pendant les 27 grilles de chorus du sax Paul Gonsalves, morceau de bravoure du disque « In Newport » par la phénoménale machine à swing de Duke Ellington, une des plus célèbres galettes de jazz. Chef d’oeuvre.
VENDREDI : Luc a un peu plombé l’ambiance avec « Henry, portrait d’un serial killer » première réalisation de John McNaughton, tout est dit dans le titre, un film glaçant parce que très intelligemment mis en scène, à réserver à un public averti (donc qui en vaut deux).
👉 On se retrouve dès lundi avec le peintre René Génis, un film de Philippe de Broca, un requiem de Luigi Cherubini, le guitariste Neal Schon, et un vrai-faux biopic sur Marilyn Monroe.
Bon dimanche.
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