dimanche 8 novembre 2020

MY NAME IS OF, BEST-OF

 


MARDI : Pat revient toujours à ses premières amours, le groupe glam SLADE, qui a eu un peu de mal à passer le cap des années 80. Mais en dehors d’une production un peu datée, ce Rogue Gallery aligne encore quelques belles pépites rock, ultime réussite avant de tirer le rideau sur une carrière impressionnante.  

MERCREDI : Bruno a ressorti le disque de Calvin Russell qui l’a fait connaitre du grand public, une œuvre sèche, rocailleuse, un folk poussiéreux qui taquine le rock et le blues rural, une véritable claque émotionnelle servie par un musicien brut de décoffrage allergique à tous compromis.


JEUDI : un flot musical a priori décousu sans thème mélodique ni motif discernables, un recours permanent à des dissonances possiblement irritantes à l'écoute… Eh ben, il nous donne envie, Claude, de découvrir cette œuvre d’Anton Webern ! Sauf qu’à l’écoute on découvre une œuvre d'une beauté sidérale et d'une profondeur existentielle angoissante. Webern invente la poétique "mélodie de timbres" illuminée ici par le maestro von Karajan...

VENDREDI : orphelin de cinéma en salle, Luc s’est rabattu sur une vieille connaissance, l’écrivaine écossaise Val Mc Dermid, créatrice du duo Carol Jordan et Tony Hill, lancé dans CHÂTIMENTS dans une double enquête. Du polar plus haut de gamme que la moyenne.

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Difficile d'imaginer que Sean Connery n'est plus de ce monde. Outre les classiques Bond, je vous encourage à découvrir - entre autres - ses films réalisés par Sidney Lumet, tous, et puis si vous tombez dessus, le remarquable L'HOMME QUI VOULUT ETRE ROI de John Huston, joué goulûment avec son compère Michael Caine. 

La semaine prochaine on aura la visite de Marie-Christine Tartaglia, du groupe Can, et de Spencer Tracy. Bon dimanche

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