Lundi : Pat a ramené ses frangines au blog, les Andrews
Sisters, qui nous ont gratifiés d’un meddley de leurs plus grands tubes, du
temps où elles égayaient les soirées des troufions américains. Un registre
assez différent de celui qui va suivre…
Mardi : Pat, encore lui, est passé des années 40 aux années 60, avec
la chanteuse Rosalie Dubois, une petite
Piaf qui a su prendre son envol, et se faire un nom plus tard dans la chanson
contestataire, invitée régulière de la fête de l’Huma. Où les Andrews Sisters n’ont
jamais été invitées…
Mercredi : le stakhanoviste du blues-rock (qui pourrait
être aussi Bruno !) Joe Bonamassa, a posé ses guitares acoustiques au
Carnegie Hall, pour deux soirées de titres totalement réorchestrés. Même Claude a adoré, surtout la violoncelliste, qui effectivement, quand on la regarde attentivement joue très bien.
Jeudi : il y avait Jacob et Delafon, Roux et Combaluzier,
Rockin’ et JL, voici Franck et Damien,
pour un premier album de ballades folk et de blues poisseux, et quelle voix !
Ils se sont connus en faisant du stop. On leur souhaite une belle et longue
route !
Vendredi : quoi qu’on pense du personnage, et Luc nous
a fait grâce de son avis pour ne parler que de cinéma, le réalisateur Roman
Polanski reste un grand maître de la caméra, la preuve avec J’accuse, qui
décrypte minutieusement et par le truchement du film d’espionnage l’affaire
Dreyfus.
Samedi : Claude se croit pigiste chez Paris Match ! Il nous raconte comment Liszt a ravi au comte d'Agout sa femme pour en faire sa maîtresse et fuir en Suisse puis en Italie. Rocambolesque, très romantique et quatre ans pendant lesquels il compose un florilège de 26 pièces variées et poétiques connues sous le titre Années de Pélerinage (curieux pour cette histoire coquine). La version culte de Lazar Berman au piano.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire