Lundi, avec Vincent, on a
écouté le dernier album de Charlélie Couture (les doigts dessus) enregistré sur
les rives du Mississippi, avec des instruments locaux. Du bien bel ouvrage.
Mardi, Pat a ressorti de ses
cartons les bd de Caza, un maître de la SF, notamment, mais pas que. Et comme
il dessine sur du papier, c’est donc lui le vrai casa de papel… (calambour pour
les moins de 14 ans qui suivent cette série espagnole à succès…).
Mercredi, le premier album du
James Gang, un groupe monté par Joe Walsh bien avant de s’envoler vers Eagles.
Bruno nous a décortiqué cette pépite.
Jeudi, le plein de soleil avec
Rockin qui nous fait découvrir Ziako, un
troubadour qui est "Né en voyage" comme le titre de son premier
album, gorgé de soleil de bonne humeur et de rythmes latinos. Enfin un rayon
entre deux nuages, il était temps (petit navire).
Vendredi on est parti au
cinoche. Après la comédie de Dubosc, cette semaine Luc donne dans l’horreur anthropophage,
avec "La Colline a des yeux" de Wes Craven. Culte pour certains, mais un peu
cul-culte pour notre chroniqueur. Sonia, un p’tit orteil en beignet, ça vous
dit ?
Samedi c’était le Who’s who de
la musique classique, que des stars, avec Strauss, Rostropovitch, et Karajan ! Rien que
ça ! Et Don Quichotte en plus. Le rôle du fidèle écuyer ne pouvait revenir qu'à Claude Toon. Il a le sang chaud, pensa Claude, en écrivant sa chronique...
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Et puis bien sûr, une pensée pour Jacques Higelin, parce que là, on est triste pour de vrai. Des artistes de
cette trempe, dans l’hexagone, y’en avait pas à chaque coin. Le Jacquot est
remonté au ciel…
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