Lundi : On apprend que Vincent revient volontiers sur ses préjugés en visitant sa médiathèque. C'est le cas avec cet album du groupe Winger : "Better Days Comin", un CD de 2014 de Hard Rock. Notre rédacteur a découvert un groupe qui a su évoluer dans le bon sens pour offrir une musique plus mature malgré une production un peu en deçà de ce que l'on attend de nos jours. Une découverte…
Mardi
: Rockin et sa passion du blues (entre autres). Cette semaine, retour sur la
chanteuse Lou Ann Barton et plus
particulièrement sur un album de 1989 titré ""Read my lips". Une
belle voix un peu rocailleuse à découvrir d'urgence, c'est Claude qui le dit.
Et un grand disque de Texas blues tout simplement, qui swingue sévère, sans esbroufe…
Mercredi
: Le jour de Bruno, notre spécialiste des pépites oubliées, souvent celle d'un
groupe qui ne produisit qu'un disque. Totty
: deux frères passionnés qui réussir à graver un disque tendance hard Rock
contre vent et marée en 1975. Pour notre spécialiste des exhumations : c'est un
disque de feu, béni des dieux du Heavy-rock
Jeudi
: Séquence nostalgie avec Pat qui nous raconte la vie tragique de la chanteuse Sirima. Une artiste pleine de talent qui
eut du mal à s'imposer dans les années 80. Une belle voix qui s'est éteinte en
1989 quand son "compagnon" l'a lardé de coups de couteau par jalousie,
elle avait 25 ans. Un seul album pour cet artiste qui préférait presque les
couloirs du métro aux strass… Un récit émouvant de Pat.
Vendredi
: Luc continue de fantasmer sur les nichons bonnets F de Pam Grier, l'égérie
des polars surexcités de la Black exploitation des années 70. Cette semaine,
commentaire sur Coffy, la panthère noire de Harlem de Jack Hill tournée en 1973 quand le
sujet commençait à s'épuiser. La belle couleur coffee s'attaque aux dealers du quartier qui,
il faut le dire, vont broyer du noir criblés de pruneaux…
Samedi
: Claude fuit la froidure de septembre pour les chaleurs
de l'orient… Il nous parle de Antar
un poème symphonique de Rimski-Korsakov inspiré des récits chevaleresques arabes
du XIIème siècle. Une musique colorée qui évoque les mésaventures du guerrier préislamique…
L'essence même de la musique orientalisante qui aboutira au célèbre Shéhérazade
(il fallait bien faire le jeu de mot).
Pas 35 ans pour Sirima, mais 25 !
RépondreSupprimerOups, désolé je ne sais plus compter ou alors mon inconscient réfutait une telle horreur ! C'est corrigé.
Supprimer